Saint Seiya
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Adonis2
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L’hôpital le plus proche, voilà où voulait aller Yéléna pour le moment. Il n'était pas question de partir enquêter dans son état actuel au risque de mourir d’épuisement ou d'une hémorragie, ce qui était plus probable vu les coups qu'elle avait subit lors de l'affrontement avec Skanda. La guerrière traînait les pieds, elle avait du mal à marcher convenablement et s’appuyait contre les colonnes du temple pour ne pas tomber à terre... Mais à peine avait elle atteint la sorti de la demeure du Bélier qu'elle croisa une femme possédant un cosmos loin d'être anodin. L'inconnue devait être plus puissante qu'un chevalier d'or à n'en pas douter pensa Yéléna qui se résigna à allez se soigner, préférant finalement rester sur place pour ne pas laisser Athéna seule avec la nouvelle venue. Il y avait bien le chevalier du Lion qui était présent pour protéger l'incarnation de la guerre mais ils ne seraient pas trop de deux si la ténébreuse créature se réveillait être une menace...

Arg...

Yéléna était resté dans l'ombre des colonnades, face au mur d'enceinte du bâtiment. Ainsi placée, Athéna, Rafarunto et la femme lui étaient invisibles mais elle pouvait tout entendre et ressentir la moindre variation de cosmos. Resserrant ses bandages, elle souffrait toujours le martyre mais son esprit était de plus en plus clair, surtout grâce aux potions de Vermalis qu'elle ingurgitait une à une.

Mmm...

La femme indiqua que les Enfers étaient menacés. Yéléna se doutait qu'elle parlait de Skanda ou peut être d'un autre dieu complice de l'homme au Paon. Ce n'était qu'une supposition bien sur mais la Sainte d'Argent n'avait que ça en tête pour l'instant et préférait attendre et écouter sans bruit, toujours dans l'ombre même si tout le monde dans le temple était parfaitement conscient de la présence de Yéléna.
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L'agitation semblait cesser avec le départ de plusieurs chevaliers pour différentes raisons. Cependant, l'arrivée d'un cosmos puissant et obscur troubla le reste de l'assemblée. Perséphone, déesse et épouse d'Hadès dieu des enfers, marchait en direction d'Athéna. Superbe... c'était l'unique adjectif qui venait à l'esprit du chevalier d'or. Bien qu'ennemie de sa divinité par principe, elle n'en demeurait pas moins une sublime femme à l'allure soignée et gracieuse.

L'arrivée de la déesse étonna le petit monde et la plupart des chevaliers se préparaient déjà à combattre. Cependant, Rafarunto, ne ressentant aucun cosmos agressif émanant de la déesse des enfers, et constatant que sa déesse bien aimée demeurait des plus calmes, demeura des plus calmes.

D'un geste clair, il stoppa l'avancée des gardes et de plusieurs chevaliers de bronze, qui s'apprêtait à stopper la marche de Perséphone. Cette visite n'avait rien d'inamicale. Pour beaucoup de chevaliers d'Athéna, les spectres et Hadès incarnaient forcément le mal. Mais Rafarunto était bien conscient de cette erreur. Tout n'était pas forcément noir ou blanc dans la vie. La preuve, parmi les chevaliers d'Athéna, certains possédaient un coeur plus noir que n'importe quel autre chevalier sur Terre. Les chevaliers et gardes obéirent au chevalier d'or du lion, et reculèrent de plusieurs pas.


Se relevant à son tour, il salua avec le plus profond des respects la déesse des enfers.

"Je vous prie de pardonner ces hommes et femmes. Ils s'apprêtaient à agir sans réfléchir. Vous êtes la bienvenue en ces lieux, et nul ne portera la moindre menace à votre égard, je m'y engage."

Se plaçant sur le côté afin de laisser les deux divinités discuter librement, il se tut pour laisser les deux divinités discuter en paix. Il avait hâte de connaître la suite des événements.
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    Mikasa, Oblivion, Vermalis… tous partaient vers leur mission. La Sainte de la Lyre partit sereinement. Même Yelena l’encouragea dans ce sens. Même si ces blessures étaient extrêmement graves, la Sainte de l’Ophiucus ne voulait aucunement se faire plaindre, ni par sa Déesse, ni par ses compagnons d’arme. C’est pour cela qu’elle réussit à se relever. Elle devait montrer qu’elle n’était pas faible.

    "Tu te trompes Yelena, je dois veiller sur vous autant que vous veillez sur moi. Notre force réside dans cet échange et ce respect commun."

    Une certaine douceur pouvait se faire sentir. Il était évident pour la Déesse qu’elle avait autant ce devoir de protection envers ses chevaliers.
    Mais alors qu’elle pensait voir le temple du Bélier se vider peu à peu de ses hôtes, la Déesse vit arriver un nouveau chevalier, Rafarunto, chevalier d’Or du Lion.
    Celui-ci n’avait pu répondre à son appel immédiatement, expliquant qu’il avait été envoyait en mission afin de récupérer un fragment d’artefact…, cet artefact même qui avait tiré Saori de son sommeil réparateur. Mais hélas, celui-ci lui échappa.
    Il mentionna dans son rapport le Grand Pope…, lui aussi était loin de s’imaginer que le Représentant du Sanctuaire n’était plus de ce monde à présent. Saori devait pourtant tôt ou tard informer son armée…, mais pour le moment, elle ne le souhaitait pas. Elle devait trouver les mots justes, pour que leur peine soit la moins lourde possible.

    "Soit le bienvenu féroce Chevalier du Lion "

    En écoutant les paroles des deux chevaliers, Saori ressentait au plus profond de leur âme, les blessures de leurs échecs.

    "Yelena, Rafarunto, ne soyez pas amer… Vous êtes tous les deux revenus en vie et cela est une grande victoire à mes yeux. Peu m’importe que cet artefact soit ailleurs, tant pis si Skanda a réussi à prendre la fuite, car je sais que tôt ou tard, grâce à votre bravoure, votre courage et votre détermination, nous atteindrons notre but. "

    Clairement, ceci était un message d’encouragement, un message d’espoir. Il était hors de question pour elle de voir son armée douter, se dévaloriser alors que ces hommes et ses femmes étaient prêts à offrir leurs vies pour le bien des autres.

    Alors que Yelena partait afin de faire soigner ses blessures, Athéna soudainement regarda vers l’entrée du temple du Bélier. Un puissant cosmos était là et il était bien inutile de faire les présentations. Perséphone était venue en personne ! La Juste Déesse illumina son chaleureux cosmos, non par provocation mais en guise de bienvenue. Yelena, méfiante choisit de faire demi-tour, malgré les graves blessures parsemant son corps, mais resta en retrait, dans l’ombre. Sargas était présent également, préférant garder le silence afin d’observer, ce qui ne l’empêchait pas de rester sur ses gardes.
    Rafarunto lui avait bien saisi les intentions de Perséphone et stoppa net quelques gardes et chevaliers, qui sans réfléchir, se précipitèrent sur l’invité fraîchement arrivé. Saori lui adressa alors un regard de remerciement. Il avait évité de justesse un drame que le Sanctuaire n’aurait pu assumer à l’heure actuelle.
    Athéna, elle, ne bougea pas. Elle savait qu’elle n’avait rien à craindre de sa sœur. Un doux sourire se dessina même sur son visage quand elle entendit la belle ténébreuse prononcer son nom, mais celui-ci s’effaça rapidement, quand elle vit le visage si peu enjoué que sa sœur arborée.

    "Perséphone… Est-ce la venue de mes deux chevaliers dans ton Royaume qui te préoccupe autant ? "

    Athéna continua d’écouter les paroles de Perséphone et comprit rapidement que sa venue était motivée par une toute autre raison.

    "Ainsi, vous aussi, vous avez subi le courroux des Hindous…"

    Le visage de Saori, habituellement si lumineux s’obscurcit soudainement, montrant bien la gravité de la situation.

    "Je connais parfaitement les conséquences si ton Royaume était amené à disparaître. Nous devons nous entretenir, seules, c’est une certitude. "

    Mais avant de partir, Saori se rapprocha de Rafarunto. Elle avait décidé de lui dire la funeste nouvelle. Elle s’entoura, avec le chevalier d’Or du Lion, d’une bulle protectrice, afin d’éviter que leur conversation soit entendue. Évidemment, Perséphone avait tout à loisir d’écouter, mais cela signifiait à la Déesse que cette conversation était privée et Saori savait qu’elle allait respecter cela.

    "Rafarunto… Ce que je vais te dire, toi seul est au courant…, pour le moment." La Déesse prit la main du chevalier et y déposa le chapelet de Riku, facilement reconnaissable. Jamais le chevalier n’avait ressenti un contact aussi doux, si apaisant, tellement apaisant qu’il pouvait toujours ressentir cette sensation après que la Déesse lui lâcha la main.
    "Notre Grand Pope nous a quitté, il a perdu la vie… Pour une raison qui m’est inconnue, le Dieu du temps lui a soudainement retiré ce qu’il lui avait offert…, une longue vie." Athéna cessa de parler pendant quelques secondes avant de reprendre. "Rend toi à la salle du Grand Pope et pose ce chapelet sur son trône, ainsi que ces rubans rouges." La Déesse en prit un et se l’attacha autour du poignet gauche. "Ces rubans symbolisent notre peine et célèbre la mémoire de notre ancien Pope, libre sont ceux qui veulent les porter. Tu y déposeras également mon sceau." Sur un bout de parchemin était inscrit le nom d’Athéna d’un côté et de l’autre le mot paix. "Je n’ai voulu parler de ce drame à tes compagnons pour ne pas les troubler avant leur mission, mais je ne peux pas leur cacher la vérité indéfiniment. Fais cela pour moi Rafarunto." La peine pouvait s'entendre dans la voix de la Déesse, cependant celle-ci n'avait guère le temps d'écouter ses émotions.

    A la fin de la conversation, la bulle s’estompa. Saori se retourna et alla rejoindre Perséphone.

    "Si tu es prête à me suivre…, je vais t’emmener au sommet du Sanctuaire."
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Hâpy
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Le Scorpion continua d'écouter chaque parole, s'imprégnant de chaque message. Il baissa la tête quand Athéna s'adressa à lui, cachant ses joues en feux. Oui, le Scorpion était jeune, bien plus que ses prédécesseurs lors de guerre. Mais il ferait en sorte d'être digne de son armure et de ses maîtres. Après de multiple bavardage et une explication de la situation, le Pope s'avança vers la sortie de la maison du Bélier. En un instant, Riku disparu en fumé, sans crier garde. Ça ne faisait rien à Sargas de le voir disparaître, après tout, il ne le connaissait pas, il n'avait aucun lien avec lui. Par contre, il senti autre chose, quelque chose qui le perça le cœur. Il senti une douleur énorme, dans son cœur, dans sa tête et dans son âme. Un ami lointain, une âme qu'il avait rencontré dans les méandres du temps. Comment s'appelait-il déjà ? Ah oui, Clotho... Le jeune Scorpion ne l'avait pas revu depuis qu'il était sorti des vagues de l'espace-temps. Mais il se souvenait de lui, comme d'un homme fort et courageux. Un homme ayant une puissance égale aux chevaliers d'or et qui devait maintenant avoir la puissance d'un dieu. Mais cette aura surpuissante venait de disparaître en un instant, presque en même temps que le Pope. Deux êtres surpuissants venaient de s'éteindre, laissant un vide amère à ce monde. Le Scorpion réfléchi un peu, une chose qu'il n'aurait pas du faire. Son esprit se brouilla, se demandant si le monde avait vraiment besoin d'eux, puisqu'ils ne valaient pas mieux qu'un grain de poussière dans le rouage du temps, et qu'ils n'étaient que des jouets aux mains des Dieux. Puis il pensa à Silke, cette charmante demoiselle qu'il avait rencontré il y a deux ans. Celle pour qui son cœur battait, pour qui, même étant dans un autre camp, il serait près à donner sa vie.
Une étrange énergie fît sortir le garçon de ses pensées. Une énergie familière qui lui redonnait encore plus d'espoir. Le lion venait d'arriver au Sanctuaire, mais l'énergie ne venait pas de lui, mais de quelqu'un de plus puissant, quelqu'un de divin. Sargas leva alors ses yeux vers celle qui s'avançait à pas souple dans leur direction. La Déesse Coré venait d'arriver, ou était-ce Perséphone ?Il ne pouvait le dire, mais elle était là, sa sauveuse, celle qui lui avait permis de sortir des Enfers. En un clignement d'œil, le chevalier avait revêtu son armure d'or, amplifiant son cosmos, non pas en ennemi de la Déesse des Enfers, mais pour montrer son hostilité aux autres Saints qui prenaient la Déesse comme une menace. Le Scorpion s'avança, se plaçant entre Athéna et Perséphone, et s'inclina devant sa sauveuse.
- Je suis ravi de vous revoir, oh Déesse des Enfers et du Printemps.
Le jeune homme resta incliné, écouta les paroles des deux Déesses, chacune étant là, dans un but différent et semblable à la fois. Après les échanges divins, le Scorpion d'or se releva et se tourna vers sa Déesse, baissant la tête, pour lui faire une demande.
- Oh Déesse Athéna, protectrice de la Terre, qui nous est à tous si chère, je vous fais cette demande. Je suis le débiteur de Coré, et vous demande la grâce de pouvoir lui servir de garde du corps, tant qu'elle sera parmi nous, aussi bien sous la forme de Déesse des Enfers, que sous celle de Déesse du printemps.

Peut-être certains pourraient prendre cela pour un acte de trahison, mais Sargas n'en avait que faire. Il avait une dette envers Coré, et ne pourraient s'en défère, que le jour où la Déesse retrouverait sa liberté passée. Alors peu importe le temps que cela prendrait, il réussirait et lui serait fidèle quand elle serait près de lui, sans oublier pour autant, qu'il servait en priorité Athéna.
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Avançant d'un pas léger, semblant aussi présente que parfaitement abstraite, la divinité des Ténèbres est sans doute bien éloignée de l'image que les mortels pouvaient s'en faire. Du moins ceux qui n'avaient pas eu le loisir de la croiser auparavant, soit tous ou presque en l'état.
Quelques hommes se rapprochent alors qu'elle poursuit sa marche lancinante sans accorder un seul regard à quiconque. Son mouvement ne se fige pas dans l'espace, le Printemps ne faisant montre d'aucune hésitation quelle qu'elle soit, ce malgré les lances qui se dirigent vers elle. Mais son esprit a d'ores et déjà analysé la scène, ses tenants et ses aboutissants, si ces imbéciles ne réalisent pas très vite ô combien il serait plus que judicieux de stopper leur inutile élan avant qu'il ne soit trop tard.
Elle n'est pas venue en ces lieux Saints porter querelle. Cela n'est certes pas son genre, cela n'a certes aucun intérêt, cela est bon pour des êtres tempétueux tels Poséidon ou Arès, mais certainement pas quand il s'agit de Perséphone.
Ainsi ne souhaite-t-elle pas fustiger ses guerriers sous les prunelles bienveillantes de sa jeune soeur. Néanmoins, et Athéna ne peut en être que trop consciente, il est tout bonnement inenvisageable que l'un d'entre eux n'ose porter la main sur elle.

Ce ne sera pas la belle incarnation terrestre de sa soeur, mais bien l'un de ses plus proches chevaliers qui sonnera le glas de la menace, arrêtant d'un simple geste l'avancée insensée de ses compagnons. Passant entre eux alors que ses prunelles violines ne se détachent pas de sa soeur, Coré n'adresse pas un mot, pas le moindre coup d'oeil au Lion d'Or qui s'incline devant elle en lui assurant qu'il veillera personnellement à sa sécurité.

La présence de tes guerriers n'est pas un problème.


C'est d'une voix plate qu'elle répond aux mots de sa soeur et ce n'est que lorsqu'elle eut achevé les quelques paroles qui étaient avant tout destinées à alerter Athéna sur un point précis, que ses iris profonds se détournent de la divinité des hommes pour frôler l'armure d'or du Lion et son porteur.

Ma soeur est capable de provoquer la passion dans le coeur des humains. Est-ce le pouvoir qui lui a été conféré depuis la nuit des temps, le pouvoir qu'elle seule sait cultiver. Une passion qui peut les amener à faire des choses insensées, à commettre des actes intolérables, à réaliser des miracles. Les choses sont ainsi.


Dévisageant paisiblement Rafarunto d'un regard morne, on pourrait jurer qu'un léger sourire se dessine alors sur les lèvres rosées de l'épouse du Sombre Monarque. Impression fugace, peut être erronée tant elle est discrète.
Nul besoin de lui confirmer la justesse de son acte. Un guerrier tel qu'il l'est, l'un des douze protecteurs de sa soeur, devrait comprendre ce qui n'est pas explicité, devrait entendre les mots qui ne sont pas prononcés. S'il est à même de le faire, alors sa place est réellement méritée.

Doucement, les prunelles brillantes de la Reine des enfers se détachent du jeune guerrier pour se reposer sur sa soeur. Le courroux des indous...

Eh bien... disons que Kali s'évertue à démonter pierre par pierre le château de cette chère Pandore qui n'apprécie que très moyennement l'intention, bien que louable étant donné la vieillesse de cette bâtisse.


C'est d'une voix détachée qu'elle lui répond, extirpant un léger soupir en conclusion de ses mots, comme si cette situation l'ennuyait au plus haut point.
Ce n'est que dans un bref hochement de visage que Perséphone acquiesce aux conclusions brièvement résumées par Athéna. Evidemment, il faut qu'elles s'entretiennent sur ce qui agite le monde et le plus tôt sera le mieux. Athéna sait quelle catastrophe cela serait si les enfers ne pouvaient plus remplir leur office. Car quoi qu'en pensent les mortels de cette terre, le royaume des enfers est indispensable à la bonne marche du monde. Kali et son armée de sbires survoltés mettent à mal un équilibre déjà sommaire de part les nombreuses Guerres Saintes qu'Hadès et Athéna n'ont de cesse de déclencher ô combien régulièrement.

Alors que la sa divine de soeur s'enveloppe d'une bulle protectrice dont l'unique but est de cacher la vérité des oreilles présentes, Coré extirpe un soupir qui semble presque amusé. Quelle perte de temps que tout cela... Mais soit, si sa tendre soeur a du temps à perdre avec ces enfantillages, elle n'a pas l'intention de glisser une part de son esprit au sein d'une discussion dont elle n'aura de toutes façons que faire.

Un déploiement d'énergie cosmique attire l'attention de la divinité. Dans un premier temps elle aurait pu se lamenter que la bêtise humaine ne saura donc jamais attendre de limite, pour peu qu'elle ait envisagé cette aura comme néfaste à son encontre. Or dès les premiers rayons d'or, elle sait qu'il en est tout autre. C'est donc un regard paisible et un léger sourire sur les lèvres qu'elle toise celui qui s'incline si solennellement face à elle, après avoir revêtu son armure d'or. Sargas.
Oui, elle se souvient. Elle se rappelle. Etrange être humain que celui-ci. L'un des rares a avoir été encore capables de toucher son coeur. Elle l'avait aidé, oui. Le regrettait-elle, non.

C'est d'une oreille amusée qu'elle entend la demande qu'il formule à sa soeur. Un chevalier d'or qui demande l'autorisation de devenir le protecteur d'une Divinité telle qu'elle, même si cela ne serait que pour un temps, à de quoi surprendre l'assemblée. C'est donc dans un distrait haussement d'épaules qu'elle engage sa soeur à faire comme il lui plaira. Il est certain qu'elle n'a aucunement besoin de protection, comme il est sans doute probable que sa jeune soeur n'accède pas à la demande de Sargas, aussi pleine de bonne volonté soit-elle. Car il est certain qu'aucune oreille ne devra entendre ce que les deux entités ont à se dire. Pourquoi ? Parce qu'il est trop tôt. Parce que les millénaires ont beau s'écouler, les périodes du monde changer, se mystifier, se développer, prendre de l'ampleur et gagner en évolution, les humains restent humains. Aucun d'entre eux ne pourra jamais comprendre ce qui peut unir Perséphone à Athéna.
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Athéna trouva les mots pour encourager Yéléna mais aussi Rafarunto tout en leur faisant comprendre que même si ils avaient échoué dans leurs missions, ils étaient vivants et c'était cela le plus important. Cependant pour Yéléna, cela restait un échec cuisant,  elle qui était trop faible pour ne serait ce égratigner un dieu qu'elle affronta pourtant au contact. Cependant la Sainte d'argent ne pouvait pour le moment que subir l'affront que lui avait infligé Skanda et tout au plus observé l'arrivé de cette déesse fraîchement arrivée.

Un dieu païen s'en va, voila qu'une autre divinité aposta s'en vient pour remplacer le premier, pensa Yéléna en voyant celle qui se disait épouse de Hadès venir converser avec la déesse de la guerre. Bien sur la Saint n'intervient pas, elle n'est pas en état de le faire et laisse Sargas et Rafarunto gérer la situation qui semble pour l'instant sous contrôle, Athéna elle même semblant souhaiter la bienvenu à Perséphone.

La Silvers Saint était restée dans l'ombre, observant juste la situation mais elle se résigna enfin à partir se faire soigner. Athéna était sous bonne garde et invitait même la déesse infernale à la rejoindre. Quoi qu'en pensait Yéléna, elle ne pouvait rien y faire, bien trop faible. Lentement et sans un bruit, elle quitta le temple en direction de l'hopital le plus proche...



Hrp = Petit post juste pour dire que je vous laisse, je vais allez creuser le trou de la sécurité social du Sanctuaire mr Red le retour
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    * Pars Yelena, sans aucun remord. Tu as accompli ton devoir au-delà de tes limites, même si je sais qu’au plus profond de toi-même, tu penses le contraire. Soigne tes blessures Sainte d’Argent et reviens quand ton cosmos étincellera aussi fort que ta constellation. *

    Voilà les mots que Yelena put entendre dans son esprit. Lentement les bribes de son cosmos se dissipèrent pour disparaître entièrement. La Sainte de l’Ophiuchus avait quitté le temple du Bélier.

    Perséphone, quant à elle, n’avait été nullement perturbée par l’assaut des gardes qui fut heureusement arrêté à temps et c’est sans un regard qu’elle continua sa route. Elle souhaitait parler à sa sœur, rien ni personne ne pouvait la détourner de son objectif. Elle consentit cependant à adresser quelques mots au Lion d’Or, seul privilégié, en dehors d’Athéna, à recevoir ces paroles divines.

    "Kalî dis-tu… ?"

    Saori voyait donc ses craintes se confirmer, il n’y avait pas une menace mais deux. Deux divinités d’une puissance telle, qu’elles ont pu détruire à elles seules et sans difficultés, deux hauts lieux des camps les plus puissants. Cela pouvait faire froid dans le dos.

    "Le Palais d’Einstein détruit… Rodorio a subi le même sort, malgré notre riposte…"

    Les Déesses devaient s’entretenir et rapidement, mais pas ici, pas dans le temps du Bélier. Saori avait une confiance aveugle envers ses chevaliers mais ce qui allait se dire devait impérativement restait sous le sceau du secret. Tel était leur pacte.
    Mais cela, Sargas ne le savait pas et c’est après avoir présenté ses respects à Perséphone qu’il formula sa requête auprès de sa Déesse. La Ténébreuse des Enfers n’eut que pour seule réaction un haussement d’épaule montrant à sa sœur que cela lui importait peu, enfin… elle avait surtout pleinement conscience de la réponse que celle-ci allait donner à son Chevalier, réponse qu’elle donna avec douceur.

    "Sargas, ton attention est louable, mais nous devons nous rencontrer seules. De plus je doute qu’une Divinité telle que Perséphone ait besoin qu’une quelconque garde." Dit-elle en posant son regard sur la Déesse.
    "Ne sois pas inquiet, Perséphone sera en sécurité dans l’enceinte du Sanctuaire."

    Il était maintenant l’heure de partir. Skanda et Kalî n’allaient pas patiemment attendre avant de semer à nouveau la destruction et le chaos sur terre.
    Athéna se tourna une dernière fois vers Sargas et Rafarunto, les entourant de son cosmos bienveillant avant de se retourner, faisant face à son hôte.

    "Si tu es prête Perséphone, nous allons nous rendre au sommet du Sanctuaire."

    Puis Saori, d’un pas lent, se dirigea vers la sortie du temple, celle donnant vers la maison du taureau. Sa longue robe blanche flottait au-dessus du sol à chaque pas qu’elle faisait. Petit à petit, sa silhouette disparaissait, seul la lumière de son sceptre était encore visible avant de s’effacer totalement.


--> Suite à la Statue d'Athéna
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Hâpy
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Le jeune Scorpion ne protesta pas. Il savait que sa demande aurait pu être rejetée, comme elle l'a était faite. Il devait obéir, et donc, le ferait sans animosité envers qui que ce soit. Mais qu'allait pouvoir faire le dard dorée du Scorpion, s'il n'avait aucune mission ? Il n'était pas du genre à rester sagement dans sa maison, à attendre qu'un nouvel adversaire vienne. Il était plutôt du genre à vadrouiller à travers le monde, et à se battre avec le première inconnu lui cherchant des poux. Le Saint d'or se tourna donc vers le chevalier d'or du Lion, laissant les déesses se diriger vers la statue d'Athéna.
- Alors vieux ? On fait quoi nous ? On a pas un petit truc un faire ? Une divinité Hindoux à tuer ou je n'sais quoi d'intéressant ?
En prononçant ses paroles, Sargas espéra que le Lion serait comme Regulus, qu'il serait près pour de l'action, et non pour rester ici à se tourner les pouces. Il se rappela alors son ami, lui qui avait décroché une armure d'or du premier coup, alors que lui, n'était que chevalier d'argent, même s'il avait eu une armure de bronze, bien avant que Regulus n'est un minimum de pratique du cosmos. Mais les lions étaient des guerriers puissants, et le Scorpion le savait. Il avait observé Regulus, qui apprenait en regardant ses adversaires à l'action. Mais aussi Aiolia, le chevalier qui gardait la maison du Lion, avant le nouveau, Rafarunto. Avant d'obtenir son armure d'or, le Scorpion avait étudié les anciens Saints, et tout particulièrement les douze gardiens d'ors. Il avait apprit, grâce aux écrits, que seul quelques élus peuvent voir, les faiblesses et les forces de chacun d'eux. Bien sur, Sargas n'aurait jamais dû lire ses ouvrages, mais il connaissait la cachette, l'ayant apprit de la part de Sisyphe, au XVIII ième siècle. Sisyphe ne lui avait pas donnait l'emplacement de la bibliothèque privée du Pope, sans compromis. Il avait vu le potentiel du jeune homme, quand il n'était que simple aspirant chevalier, et il lui avait dit qu'il y trouverait tout ce qu'il fallait, pour devenir un bon stratège. Le garçon avait donc prit l'habitude de se glisser en douce dans la bibliothèque, même s'il se doutait que le Pope était au courant de ses visites nocturnes. Le garçon avait lu beaucoup d'ouvrage sur les Guerres Saintes qui avaient ravagées le monde. Découvrant les attaques transmit, la plus part du temps, de génération en génération. Il avait même trouvé un passage qui lui avait donné des cauchemars pendant plusieurs jours, celui du lien rouge employé par les Poissons. En revanche, il ne toucha pas au rayon privé du Pope, un rayon que seul lui avait le droit de consulté. Sisyphe lui avait dit qu'un jour, un jeune chevalier d'or avait lu l'un des ouvrages. La cupidité gagna rapidement le chevalier, qui se détourna de sa mission, et utilisa une technique interdite, contre son propre frère, pour que celui ci, tue le Pope. Mais le Saint du Sagittaire ne rajouta rien, laissant ainsi l'histoire, et laissant le garçon dans le vague et l'attente d'une fin.

Après s'être rappelé une part de son passé, Sargas se rappela la promesse faite à Sisyphe, en échange de l'emplacement de la chambre secrète. Il devait protéger au péril de sa vie s'il le fallait, Sasha. Et c'est ce qu'il fit, quand elle avait voyagé avec lui et ses deux maîtres. Même sachant Sasha décédé depuis des siècles, le Scorpion ne renoncerait pas à sa promesse. Il protégerait la nouvelle incarnation d'Athéna, comme il l'avait fait dans le passé. Il savait Athéna en sécurité pour le moment, au côté de Dame Coré. Le jeune homme pouvait donc être serein, et se préparer à sa prochaine mission sans crainte, en espérant que le Lion d'or près de lui, serait près à le suivre.

HRP: Je passe devant Rafa, pour que Persé puisse répondre rapidement ^^
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Atano
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Son armure portée, arrivant depuis sa maison, il vit les deux autres Chevaliers d'Or, et n'ayant peu de confiance en ses mots, il ne put dire qu'un simple

- ...Bonsoir...

Il baissa le regard, n'osant pas lever ses yeux devant des grand chevaliers, alors que lui venait d’être accepté par son Armure. Il voulut se cacher sous sa cape, de peur de paraître grossier ou encore irrespectueux de parler aux chevaliers qui étaient en face de lui. Il commença a reculer, pensant qu'il pouvait s'éclipser et retourner a son temple pour pouvoir s'isoler, mais il se percuta contre le mur du Temple du Bélier, et son armure, du a l'impact, fit un bruit assez fort qui attira l'attention des chevaliers sur lui. De honte il s'agenouilla, et rapidement il dit :

- Excusez moi ! Je ne voulais pas vous importuner !
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La reine des ténèbres hausse légèrement les épaules aux premiers mots de sa soeur. Détruit... pas vraiment finalement, puisque les dieux se voulant tout terrain désormais, Perséphone avait du consolider les pans croulants du Château de Pandore afin d'éviter qu'il ne vole en éclat. Ce souvenir récent lui arrache un soupir de dépit. Voilà à quoi elle en était réduite... à se prendre pour un charpentier. Pathétique.

Son expression ne change pas lorsque sa soeur lui apprend la destruction de Rodorio. S'il elle n'avait pas conscience que ses mots blesseraient profondément sa jeune soeur et s'il avait s'agit de quelqu'un d'autre, sans doute se serait-elle fendue d'un commentaire du genre "Comme d'habitude". Combien de fois Rodorio avait-elle était détruite... La paisible petite cité subissait les assauts des ennemis du Sanctuaire depuis sa création. Une fois de plus ou une fois de moins... Cela n'était que hautement prévisible à vrai dire. Comme si chaque entité de ce monde, quelle qu'elle soit, se mettait en devoir de s'acharner sur le village avant de s'avancer vers le sanctuaire d'Athéna.

Comme elle s'y attendait, sa soeur refuse poliment et aimablement, comme à son habitude, la demande du Scorpion. Il aurait difficilement pu en être autrement et c'est dans un pâle sourire presque amusé qu'elle répond silencieusement au réceptacle d'Athéna lorsque celui-ci déclare qu'elle n'avait sans doute pas besoin de protection quelle qu'elle soit.

Jetant un bref regard vers Sargas, la divinité des enfers acquiesce silencieusement aux mots de sa soeur. Même si cela l'ennuie profondément, il semble qu'une entrevue dans les hauteurs de son domaine ne s'impose en cette heure...

-> Temple d'Athéna
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Rafarunto
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Hrp/// dsl je poste par tel. Je mettrais en page mon message dans la journée.



La déesse des enfers tjs aussi belle et séduisante prouva sa grande sagesse en épargnant les jeunes guerriers arrivés à la hâte. Cela prouvait ce qu'avait toujours pensé le chevalier d'or.  Ne jamais s'arrêter à la couleur et à la faction d'une armure.


Très vite le chevalier d'or comprit que les enfers étaient également attaqués par ces êtres mythiques.  Ainsi donc la situation était encore plus grave que prévue. Peut être était il temps d'oublier les conflits du passé et s'unir face à l'adversité.  Enfin, ceci n'était pas la mission du chevalier d'or.  Sa mission était tout autre.

La déesse Athèna prononça des paroles des plus réconfortantes et chaleureuses à l'égard de ces chevaliers. Rafarunto se promit de ne plus jamais échouer une mission.  Mais la déesse ne s'arrêta pas là.  Elle s'approcha du chevalier d'or du lion et créa une barrière magique afin que seul ce dernier entende ses paroles.  

La teneur des propos bouleversa le guerrier.  Il ne s'attendait pas à une telle mauvaise nouvelle. La perte du grand pope était des plus désastreuse pour le sanctuaire.  Cet homme n'avait cessé d'oeuvrer pour le bien de l'humanité depuis l'aube des temps... la peine était lourde mais Rafarunto devait montrer l'exemple et accomplir la mission de sa déesse bien aimée.  N'était ce pas un signe de confiance pour qu'elle lui confie telle tâche?  Le chevalier d'or se devait d'honorer cette marque de confiance.

Prenant dans ces mains les symboles du grand pope confiée par Athèna,  il acquiessa d'un signe de tête.  S'apprêtant à quitter les lieux, il fut stoppé par le chevalier d'or du scorpion. Ce dernier faisait partie de la nouvelle génération fort prometteuse.  Calme, Rafarunto répondit à Sargas.

"Une mission de première importance m'incombe. Mais si cela te dit, tu peux m'y accompagner.  Ensuite, si Athèna le décide,  nous irons combattre ensemble.  L'heure des combats se rapprochera bien plus tôt que voulu."

D'un pas calme, il s'aventura vers l'entrée de la première maison. Sa destination n'était autre que la dernière maison, celle du grand pope. A proximité de l'entrée, se trouvait le chevalier d'or du sagittaire. Nouvel arrivant au sein du Sanctuaire, Rafarunto ne savait rien de lui. Mais une chose était certaine, celle que les chevaliers d'or du sagittaire furent toujours des chevaliers puissants et loyaux envers Athéna. De ce fait, aucune inquiétude à avoir. S'immobilisant à proximité de lui, il prononça quelques paroles à son égard:

"Jeune chevalier, tu es également le bienvenue. Les armures d'or du lion et sagittaire ont toujours été uni dans le passé. Peut-être sera-t-il de même cette fois-ci encore."

Sans dire d'avantage, il reprit son ascension.
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Hâpy
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HRP: Je post directe dans la maison du Scorpion car la fin dans la maison du Bélier aurait était trop courte ^^

>> Maison du Scorpion
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