Saint Seiya
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Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau !
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Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! Cite-d10








C'était un jour comme à l'habitude ici à Sparte, la puissant cité guerrière. Les habitants sans cosmos menaient leurs petites vies paisibles dans la ville d'un dieu que tous croyaient disparu, en cette si belle journée d'hiver ou le froid rigoureux persécuté la population Spartiate, représentant la tristesse et la colère de la puissante Déesse Déméter en déshonneur du départ de sa chère Perséphone partie aux Enfers.


On pouvait entendre de par la cité guerrière les cris, les pleures, les rires, les chants et les engueulades de la populace, tous pour la plupart, descendants des illustres Spartiates, dont ces 300 qui ont fait la fierté de la Grèce, mais plus particulièrement du dieu de la guerre Arès en repoussant ces chiens de Perses venus défier les dieux pour le besoin et la débilité de Xerxès.


Toute cette banale tranquillité fût achevée par un grondement dans le ciel, pas celui du tonnerre représentant la colère de Zeus, non, mais celui d'une lumière de flammes venant du ciel devenant rougeâtre se dirigeant quelque part dans le colisée de Sparte. Cet événement peu commun consterna toute la population Spartiate, qui causa de le coeur et l'âme des habitants interrogations, curiosité et de la peur.


La majorité des Spartiates se dirigèrent dans un flux massif et compressé d'un seul groupe compact vers cette lumière de feu éphémère dans un boucan tonitruant. La meute de population s’arrêtèrent à l'étage supérieur du Colisée, la ou se trouvait le trône d'Arès inoccupé depuis des siècles, lui qui fût forgé par le feu de Prométhée. Les deux puissants gardes spartiates vêtu d'un bouclier et d'une lance ainsi que des équipements des hoplites d'antan parvenaient tant bien que mal à contenir la foule hystériques qui semblaient comprendre ce qu'il venait de se produire.


Mais après quelques minutes, la puissance de cette meute parvint à faire succomber les deux molosses gardant la salle du trône, puis s'insèrent tous en ordre rangé dans cette merveilleuse pièce retraçant grâce à des peintures l'exploits des 300, des Berzerkers et du dieu de la guerre et de la vengeance lui-même. Les curieux chuchotaient à grandes voix, se questionnant, avant que les deux gardiens, enragés d'avoir succombé à la force de plus d'une centaine d'hommes bien qu'ils ont vaillamment résisté, se plaçaient devant le trône qui se trouvait au point culminant des cinquantaines de marches marbrées pour protéger cet artefact divin.

Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! Mausol10

Derrière ce trône se trouvait un long voile rouge lui aussi était parsemé des louanges d'Arès sous forme de symboles qui cachait une pièce cachée. C'est dans cette salle secrète que cette lumière enflammé semblait d'être abattu. En effet, derrière ce voile se trouvait un mausolée d'une taille moyenne sur trois étages possédant de nombreuses statuettes de marbres représentants les nombreuses batailles livrés par le dieu de la guerre. Au sommet se trouvait une représentation du dieu vengeur sur son char. Il était ponctué d'une grande porte en marbre pesant très certainement un poids incommensurable. 



Peu de personne connaissaient l'existence de cette bâtisse divine, et personne n'avaient jamais pénétré ce mausolée divin, même les prêtres de la guerre, ni les berzerkers du dieu. En réalité, le seul qui connaissait l'intérieur du lieu n'était autre que le vengeur Arès. Lui seul avait le privilège d'honorer ses pas sur ses dalles divines. Selon les dires, ce mausolée inviolable fût crée par les cyclopes bâtisseurs en honneur à la puissance du dieu de la guerre qui renfermait le corps terrestre d'Arès lui-même, le corps qu'il chérissait lorsqu'il se réincarnait sur terre, le corps qui selon toujours ces mêmes dire, était celio du petit fils de l'illustre roi Ménélas de Sparte aussi nommé Ménélas.


A l'intérieur de ce mausolée, il y avait de nombreuses bougies qui illuminaient avec aisance la salle rectangulaire qui à son milieu, se trouvait une tombe en marbre. D'ailleurs, cette tombe tremblait, la partie haute de cette dernière bougea de la gauche vers la droite, avant qu'une main n'apparaisse, puis une seconde. Après quelques secondes, on pouvait y voir un homme d'une vingtaine d'année nu à la chevelure rougeâtre et au corps musclé. Après être sorti de sa tombe, l'homme mystérieux se dirigea vers un grand coffre en or qu'il ouvrit, puis il enfila sa tenue, un ensemble vestimentaire de guerrier, puis il s'arma de son épée d'une beauté incomparable qui avait fait couler énormément de sang ainsi que de son bouclier raisonnant infiniment comme celui des batailles immortelles. Toujours dans ce silence, l'homme se rinça la tête avec une eau pure ruisselant sur l'extrémité de la salle, puis il sortit du mausolée, toujours dans ce silence implacable.

Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! Tp_53010

Quand il sortit de son sanctuaire, l'homme fût troublé par le vacarme qui se trouvait derrière le somptueux voile rouge. Figé sur place, les yeux fermés, il s'agaçait rapidement de ces voix raisonnant dans toute la grande salle du trône d'Arès, et regrettait presque le calme Olympien qu'il venait de quitter. Soupirant tout d'abord, son visage arbora un léger sourire, un rictus qui semblait transparaître une certaine jouissance, une certaine fierté même. Puis, d'un pas assumé, il franchisât le voile rouge puis il apparu devant la foule qui cessa de pinailler, interloquée de voir cet inconnu sortir de nul part. 


Sans marquer un arrêt, l'homme à la chevelure rouge siégea sur le trône devant l'ébahissement de tous. Cet acte n'était pas un blasphème, mais bien le signe que l'inconnu était Arès, l'unique et l'authentique dieu de la guerre disparu depuis des milliers de siècles. S'il avait été un usurpateur, l'homme aurait brûlé sur place, pour devenir ombre, cendres et poussières. C'est alors que les spartiates, qu'ils soient marchands, éphèbes, fonctionnaires ou encore Berzerkers bien que moins courant s’agenouillèrent tous sans exception devant le retour du dieu de a guerre, qui savourait cette ovation, lui qui même après des siècles, était toujours aussi adulé par ses serviteurs. On pouvait même entendre, après quelques minutes de la réincarnation sur terre d'Arès, le son du cor de Sparte, celui qui signifiait l'avènement d'Arès, le dieu vengeur au monde entier. 


Dans cet enchaînement d'éloges, Arès, affaissé sur son trône, tenant son menton du poing de sa main droite, leva sa main gauche en signe qu'il allait prendre la parole, bercé par le son perpétuel du cor de Sparte grondant en son honneur. D'une voix forte et pleine d'assurance, il s'adressa à son peuple.

" Mes chers fidèles, je me représente à vous, moi, Ménélas troisième du nom incarné par Arès, le dieu de la guerre, après des siècles d'absence, et j'honore votre fidélité en ma personne. Si je vous ai abandonné durant toutes ces siècles, c'est parce que depuis ma dernière défaite contre Athéna, j'ai décidé de me rendre pour m’entraîner au Tartare pour devenir plus fort. A présent, je suis revenu sur terre pour vaincre Athéna et son armée, et restructurer ce monde baignant dans le chaos à cause de ses guerres indignes d'en être. Il est temps pour nous, de conquérir ce monde. Moi et mes Berzerkers vaincrons ! Que les guerres justes et honorables jaillissent du volcan de la vie et que ce magma se répandent sur terre ! "

Une ovation saisissante gagna alors la foule en plein délire, considérant Ménélas, ou devrais-je dire Arès comme le nouveau messie, comme celui qui deviendrait le nouveau protecteur du monde. Fier de cette ovation qui lui été faites, le dieu de la guerre se leva de son trône, puis il fût une nouvelle fois taire le public. De sa main droite, Ménélas, l'incarnation d'Arès fût apparaître une urne avec au milieu de celle-ci, la tête sculpté de Zeus.

Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! Galeri10

De sa main gauche, le réceptacle d'Arès, Ménélas tenait une sorte de parchemin avec marqué en ancien grec le nom de Zeus, qui en fit une boulette avant de le brûler avec son cosmos, tout en arborant un sourire, en pensant * Désolé père, c'est ma fille après tout *. Il fit signe à l'un des deux colosse de lui apporter une petite table, afin qu'il puisse poser cette fameuse urne, contenant à l'intérieur un collier spécial, le tristement connu collier d'Harmonie. Toujours de sa même voix, il annonça une autre nouvelle :

" Je ne suis pas venu seul, mes fidèles sujets. Dans cette urne divine se trouve le collier d'harmonie, connu pour sa terrible malédiction. Du à cette fameuse malédiction, ma fille bien aimée fût scellé car elle causait la peur à mes paires Olympiens. J'ai aujourd'hui décidé qu'elle régnerait à mes côtés, mais seule l'élue de la fille d'Arès, de la fille de la divinité qui s'est réincarné en moi, peut réussir à l'éveiller, seulement une femme comme le veut la légende. L'élue devra enfiler le collier autour de son cou pour que ma fille s'incarne en son élue. Celle qui l'enfilera, mais qui ne sera pas cette élue subira la malédiction d'Harmonie, vous êtes prévenue. "

Cette annonce causa de nouveau un chahut monstre, les mots étaient trop inaudible pour comprendre quoique ce soit, mais il fallait être aveugle pour ne pas comprendre que les spartiates discutaient de cette nouvelle allié, qu'ils incitaient ... ou pas les connaissances féminines à essayer ce test divin pour peut-être avoir l'honneur d'incarner Harmonie, la fille du terrible Arès ! D'ailleurs, une prétendante d'une trentaine d'année ne se fit pas attendre pour se jeter dans l'aventure. Elle fut rejointe par une dizaine d'autres femmes d'âges variés, qui, sous les injonctions des deux gardes, se placèrent à la queue.  Après un geste de la tête en signe positif de Ménélas ou Arès, peu importe au final, l'un des molosses en armure laissa passer la première femme, une certaine Sydélia qui selon les personnes qui l'a côtoyée, se prenait pour la femme la plus jolie de la cité, même s'il fallait l'avouer, Arès qui était un amateur de femme l'a trouvait plutôt désirable.


Lorsqu'elle arriva au pied de l'urne, cette dernière toucha le collier. Mais rien qu'en le touchant, en posant juste un doigt sur ce dernier logé dans son urne, cette certaine Sydélia recula de trois pas en arrière, son corps se recouvrant de pustules, devenant une femme repoussante et laide reflétant dans le coeur des hommes la méprise et l'horreur, tous l'inverse de ce qu'elle était auparavant. Elle finit par s'enfuir en criant, quittant la cité. Les autres prétendantes, horrifiées par le spectacle, désertèrent leurs volontés de devenir une déesse sous, de nouveau, un sourire sur le visage du réceptacle d'Arès, Ménélas, qui pouvait contempler une infime partie de la puissance d'Harmonie, qui deviendrait une arme de guerre terrifiante.


Par son pouvoir divin, le petit fils du grand roi Ménélas pouvait entendre la voix de sa fille Harmonie qui raisonnait tout doucement, ne réclamant qu'un nom, encore et encore: Elèna. Suite à cela, le régent de Sparte se leva de son trône une seconde fois, et cria de sa plus forte voix !

" Elèna ! Si une Elèna se trouve parmi nous, qu'elle se présente à moi maintenant ! "

Pour plus de précaution, le dieu de la guerre et de la vengeance passa le message par télépathie à travers toutes les femmes qui servaient son nom. 

* Elèna, si tu ne te trouves pas à Sparte, je t'intime l'ordre de te rendre dès maintenant à la salle de mon trône. *

Bien que le dieu de la guerre n'aimait pas vraiment attendre, il n'avait pas le choix patienter après cette mystérieuse Elèna, une spartiate qu'il ne connaissait pas, mais qui, selon sa fille, serait l'élu pour recevoir l'âme de cette dernière pour devenir la nouvelle déesse de la malédiction, avec laquelle il pourrait régner sur le monde et vaincre sa soeur Athéna !


Aujourd'hui à Sparte, la population allait vivre le plus grand événement que la cité guerrière pouvait connaître. La puissance D'Arès était sur le point de connaître sa plus grande apogée, les spartiates allaient assister à la résurrection de deux divinités : Arès et Harmonie .. même si Harmonie était sur le point de l'être, mais pour cela, il manquait cette fameuse Elèna ... 
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Arès c'était ré-incarné, Elèna en était sûr d'ailleurs cela lui avait fait défaut à Rozan puisqu'il semblait y avoir un événement bien particulier à Sparte. L'anima de Cadmos même c'était mise à briller lors de l'apparition du dieu de la guerre, la Spartiate en son nom c'était battue comme une lionne face a ces deux adversaires, mais elle fut coupée par l'appel de son dieu.


Elèna ...

Un frisson parcourut la jeune femme lorsqu'elle entendit son nom, il venait tout juste de se réveiller et pourtant la recherché qu'avait elle put bien faire ? Avait elle commit une erreur non impossible ?

La demoiselle avait eut une étrange sensation lors de son combat, comme si son corps était attiré pour nulle raison vers Sparte, pourtant là, elle ne douta un instant et compris qu'il y avait sûrement un lien entre cet appel divin et le faite que son corps semblait sous emprise.

Elle eut donc laissé le saint du Dragon et le black saint de Percée aux pics de Rozan puis pris un aller simple pour Sparte. Durant le trajet Elèna soigna quelques plaies, elle venait tout juste d'affronter deux chevaliers et n'avait le temps de se refaire une santé, Anima quittée bien sûr l'on pouvait voir l'usure de ces vêtements craqués à certains endroits qui laissaient entrevoir certaines formes généreuses de la belle, l'on pouvait aussi voir le sang de celle-ci coulé des multiples plaies faites lors de l'affrontement serait-ce une offense de se présenter devant Arès ainsi ? Étrangement elle n'y pensa que peu, si celui-ci l'avait convoqué elle devait le rejoindre aussi rapidement que possible.

D'ailleurs lorsque l'avion survola Sparte pour le prochain arrêt la porteuse de Cadmos malencontreusement déploya son cosmos afin de faire chuter l'appareil, bien entendus elle ne le fit pas s'écraser, elle créât juste une panique générale qui fit peur au commandant de bord et qui se posa à quelques kilomètres de la cité.

La belle blonde profita donc de ceci pour entamer une course folle vers son seul et unique maître, Arès. En entrant dans la cité elle croisa une femme hideuse qui quitta la ville poussant des jurons sur Arès et sur sa fille... Sa fille ?

« Har..mo...nie ... »

En pensent à celle-ci Elèna put sentir son pouls accéléré, celui-ci devenait incontrôlable, elle eut également une légère montée de température. Elle se stoppa net à l'entrée de la cité remarquant que celle-ci était déserte, elle marcha donc doucement en direction de la salle du trône hors de question d'arriver fiévreuse et en plus essoufflé devant son seigneur.

En ouvrant la salle du trône Elèna ne remarqua qu'une seule personne, son dieu assis sur son trône avec sa fidèle épée d'une prestance inégalable la foule entière semblait subjugué par la divinité et ce n'était pas tout il y avait autre chose une urne et un collier. Les battements de coeur d'Elèna accélérèrent de nouveau, elle ne maîtrisa plus rien, si bien que son cosmos même s'emballa l'entourant d'une aura rougeâtre, l'aura qui l'enveloppa firent de nouveau surpris parmi les habitants, Elèna était connue comme simple citadines, tous l'avaient déjà côtoyé, mais nul n'avait sus qu'elle était une éveillé.

Une haie d'honneur sembla alors se former les centaines d'individus ce mirent sur les côtés de la salle, les plus curieux chuchotèrent alors que d'autre observait la scène, Elèna était face à son dieu marchant dans sa direction le regard basculant entre lui et le collier posé sur la table. Son cosmos était de plus en plus imposant, le chef de la taverne hurla son nom comme intrigué par le faite qu'elle soit une éveillée. Voilà donc qui elle était, ancienne Asgardienne de sang devenue aujourd'hui une Spartiate de confiance, elle était Elèna de Sparte. Son identité dévoilée par le vieux fou fit quelque surprit, ceux qui la connaissait pure faire le rapprochement avec les dire du dieu tandis que les autres comprirent que c'était elle... l'élue ?

Arrivé devant la table ou ce trouvé l'urne et le collier, le cosmos d'Elèna sembla s'éteindre, quand aux battements de son coeur ils furent toujours aussi nombreux, elle qui était dans ça plus simple tunique toujours abîmé posa genoux à terre et résista à cette envie de prendre le collier posé sur cette table, la beauté du bijou ferait plaisir à toute les femmes, celui-ci en or imposant donné envie d'être porté pourtant en son sain trois pierres noirs semblaient dégager tout autre chose, le collier qui était là Elèna n'eut aucun mal à le reconnaître, ces pierres, cette forme, cette force qui s'en dégageait.

« Harmonie ? «

Elle y pensa un instant restant figé là créant un silence total où l'on ne pourrait même entendre une mouche voler. Elle pris sa respiration puis pris enfin parole.


Votre majesté, veuillez m'excuser pour cette tenue et mes multiples blessures, j'ai dû achever mon combat au plus vite lors de votre appel, en effet je m’appelle Elèna porteuse de l'anima de Cadmos pour vous servir.


Elle ignora un instant le collier et vint fixer de ces beau yeux bleue ceux de la divinité, pour qu'elle raison l'avait il convoqué ? Aurait-ce un lien avec le collier maudit présent sur la table ? Pourquoi avait elle cette envie de le mettre au point même de ne pas attendre la réponse de son dieu ?
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Les désirs d'Arès étaient toujours exaucés, preuve en était, à l'appel de son nom, cette mystérieuse Elèna fit son apparition dans une tenue plus que discutable, surtout pour se présenter devant son dieu. Elle qui était encore une ombre dans Sparte il y avait quelques heures, était devenue en quelques minutes, grâce à Arès, la femme la plus connue et recherchée du royaume guerrier.


Le petit fils de Ménélas fixa attentivement cette femme blonde d'une beauté sans égale. Le dieu qui sommeillait en lui brûlait de désir pour cette créature peu vêtu, mais contrairement à son habitude, quelque chose le bloqua, une aura qui le repoussait aussi bien sentimentalement que désire à proprement parler. 


Arès le savait, il n'était plus le centre des choses dans sa salle de trône. Fixement, arborant un léger sourire, il regarda cette fameuse Elèna qu'il ne connaissait pas. Il l'a laissa s'approcher de cette urne contenant ce collier maudit, en ayant ce sentiment étrange mais chaleureux que cette femme allait devenir l'arme mortelle que les dieux ne voulaient pas voir revivre.


Comme hypnotisé, ignorant presque la divinité, cette belle blonde qui était la Berzerker de Cadmos se présenta, s'excusant d'être venue dans une tenue aussi délabrée. Cependant, elle réussit à détourner son regard d'un bleu océanique pour admirer le beau Ménélas, réceptacle d'Arès.


Après l'avoir fixé, la divinité, levé de son trône, choisit de prendre la parole. Il était fier de rencontrer son premier guerrier divin. Il fût de nouveau taire la foule en levant sa main droite pour avoir une audibilité parfaite, il était en effet probable que Sparte allait vivre un des plus grand événement de son histoire. 

" J'aime ta tenue, Berzerker, qui est la symbolique d'une bataille venant de se terminer, t'es blessures sont la représentation de ta force et de ta bravoure au combat, un privilège pour un de mes guerriers, si tu t'étais présentée à moi sans une égratignure, sans une cicatrice, tu m'aurais fait affront. "

Ménélas tourna le dos à la salle, puis reprit cette même posture de départ qu'il avait sur son trône, avant de reprendre son monologue qui raisonnait encore et encore dans la salle du trône.

" Je t'en prie, jeune fille. Cède à ta tentation, prends ce collier et met le autour de ton cou. Je l'aurais bien fais, mais hélas, si je venais à le toucher, je me risquerais à une terrible malédiction .. d'ailleurs, tu as pu croiser cette monstruosité appelée Sydélia, tu as donc un aperçu de ton futur visage si le collier de ma fille te rejetait. Trêve de bavardage à présent, enfile ce bijou et embrase ta destiné !!!! "

Arès était un dieu impatient, et il n'aimait pas les monologues, ce qu'il venait de faire. Las d'attendre, il fixa sans âme ni sentiment d'un regard froid la jeune femme, n'espérant qu'une chose: l'effet positif ou négatif résultant de cette action, d'ailleurs, la population était elle aussi en haleine.
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Comme elle s'en doutait Arès ne lui en voulus pour ça tenue, fallait dire que la fine silhouette qu'elle été devait étonner beaucoup lorsqu'il l'appela Berserker, mais non, même les hommes les plus braves ne dirent un mot le cosmos de la belle avait sans doutes laissé des traces de plus Arès était là imposant fière il ne fit de monologue ce qui ne surpris pas la porteuse de Camos et lui demanda d'aller droit vers son destin. La jolie blonde eu un flash en revoyant l'hideuse femme croisée à l'entrer de la ville, le collier d'Harmonie semblait avoir l'effet narrer dans le livre, elle ne douta pas un instant et lorsque l'ordre lui fut donné elle laissa son corps agir et sous pression se relever pour saisir le joyaux maudit, à peine eu t-elle touché celui-ci que certains visages s'ouvrit ébahi par la scène, les trois pierres noirs présente fusionnèrent pour former un joyaux bleuté plus brillant encore que les plus beaux saphirs terrestre, nul doute que la pierre divine eut reconnue Elèna. L'or quand à lui changeât de teinte blanchissant tout en devenant fin, Elèna mit alors le collier maudit autour du coup et ... rien... ce fut le silence total durant quelques secondes, aucun boutons, aucune impureté, rien ne changeât ci ce n'est le spectacle auquel assisteraient les Spartiates toujours plus nombreux au fil des minutes.

En effet l'urne entrouverte d'un phénomène encore inexpliquée bascula sur la table et s'écrasa sur le sol, un vent glacial fit alors irruption sur les lieux, l'on pouvait voir la crainte de certains concernant le cas d'Elèna et ci ce n'était pas elle que deviendrait elle pour avoir mis le collier et en plus brisé l'urne ou était enfermé l'âme de la fille d'Arès ?

Eu alors lieu une courte scène que seul Arès part son statue divin put apercevoir, l'âme de sa fille était là entre lui et cette future hôte qui tomba à genoux ce tenant le coup en appuyant sur le collier maudit, elle seule et le seigneur des guerres pouvait assister à cette renaissance, l'âme adressa quelques mots à Elèna avant d'en faire son hôte.

Tu est forte, l'hôte précédent a tenue que quelques secondes avant que ce collier n'enferme son âme et ça fait deux minutes que tu le porte...

La belle blonde tomba alors sur le sol suffocant de plus en plus, les spartiates ne réagir pas tous avaient comprit que quelque chose ce tramais et qu'hélas pour eux ils ne pourraient y assister, pourtant malgré leurs impuissances ils soutenaient la jeune femme qui gisait sur le sol.

Je dois tenir...

C'est tout ce qu'elle réussie à dire avant de tousser plusieurs foie et de ne pouvoir parler de nouveau ce fut désormais à l'âme d'agir avant qu'il ne soit trop tard.

Père, cette petite à gagnée la confiance du peuple depuis son arrivée ici, cela pose t'il un problème si l'arme que je deviens garde son nom ? Les spartiates n'en n'auront que faire et reconnaîtrons mon rang, mais user de sa chaire et de son nom pour tromper nos ennemis peut-être un moyen de gagner bien des guerres

Sachant d'avance qu'il accepterait l'âme flottante au-dessus du corps apparut quelques secondes devant tous, elle n'eut que deux mots à dire en même temps qu'Elèna pour que la fusion s'accomplisse.

Pour Sparte.

La belle blonde reprit son souffle instantanément et ce releva sans mal, elle regarda fixement celui qu'elle appellerait père et vint poser ces deux mains sur le joyaux maudit.

Tous assisterait à l'évolution d'Elèna, par son rang d'hôte de la divine Harmonie, fille d'Arès, mais également à la nouvelle image qu'elle donnerait au peuple, bien qu'elle eut apprécié le corps de son hôte, Harmonie procéda à quelques changements, la chevelure notamment devint plus longues et resplendissante, ces blessures cicatrisèrent laissant des marques minimes, ces courbes, non son corps entier vint être lavé de tout défaut présent, les hamburgers qui étaient devenu graisse au niveau des hanches ne parurent plus visible, elle était devenu une autre et pour couronner le tout elle usa de sa cosmo énergie pour faire appel à son armure divine qu'elle n'eut mit depuis de long millénaires. Celle-ci assez sombre laisser apercevoir le corps désirable de la déesse, fallait dire qu'elle aimait jouer et rare de ceux qui lui avait fait des avances survécurent, d'ailleurs les Spartiates ne dirent un mot regardant la scène dans son intégralité plutôt que le corps bien voyant de la Spartiate. C'était ça qui différencier ce peuple des autres, les spartiates étaient et savait rester fidèles à leurs réputations de guerrier et nom de rudes pervers... Aucun ne manqua de respect à la jeune femme malgré le faite que certains doutes de celle-ci à cause de son statue de maudite. D'ailleurs le collier qui avait fait sa réputation ce brisa laissant le joyaux du collier maudit s'incruster dans l'armure, ainsi la malédiction du collier disparût, enfin aux yeux du peuple. Vint ensuite l'arc de la belle, elle eu trouver avant de finir emprisonné un moyen de contrôler son pouvoir afin de ne pas nuire à ces semblables et ces dans chacune de ces flèches qu'elle usa de ces terribles malédiction lui permettant de tuer de celle-ci ou d'accorder d'éternels souffrances.

L'armure porté sur le dos, la belle vint gravir les quelques marches et vint se tenir debout au côté de son père.

Spartiates, celle que vous avez connus sous le nom d'Elèna est toujours là, celle-ci à toujours accomplit son devoir de Berserker et de Spartiate et j'ai décidé de ne pas emprisonné son âme dans ce corps que nous partageons. Toutefois c'est bien moi Harmonie fille d'Arès qui suis parmi vous. Je suis là pour vous remercier d'avoir gardé Sparte intact durant ces long siècles, je suis également ici pour aider à la reconstruction de la cité et aussi pour devenir l'arme qui infligera mort à tous nos ennemis. Les malédictions ne sont pas à prendre à la légère, sachez que j'ai profité de ces siècles de sommeil pour rendre celle-ci aussi efficace que possible, Sparte la cité que vous avez su protéger vas sortir de l'ombre pour rétablir les dires des factions ennemis concernant notre éventuel extinctions ne soyons pas les craintifs, mais ceux qui sont craint peuple de sparte êtes-vous avec moi ?!!!

Une acclamation eut alors lieux validant les propos de la déesse, elle devait faire forte impression pour réduire à néant les craintes de certains, elle était maudite certes, mais son arrivée ne causera la mort des leurs.

Elle laissa un instant la foule en délire acclamer les divins présents et demanda aux deux gardes présents d'apporter de quoi boire, bien sûr ils appelèrent du renfort pour amener suffisamment en quantité pour que cette soirée reste inoubliable aux yeux de tous, ceci fait elle fixa son paternel d'un regard fixe .

Père, je vous dois la vie, merci. 


Une courte pose puis elle poursuivit : J’ose espérer que vous n'avez rien fait pouvant nous nuire pour me permettre de récupérer ce corps, y à des millénaires déjà que Zeus m'a arrêté craignant que mes malédictions ne l'atteigne lui ou ça chère fille... ajouta elle en ce demandant déjà comment faire des craintes de Zeus une réalité.

Nos réveils marque un nouveau tournant pour nos frères et sœur Spartiates et je me dois d'être forte pour chacun d'eux qui à sus en nos absences ce battre pour garder la citée, c'est pourquoi je serais votre arme, utilisé moi des à présent pour faire disparaître les doutes des derniers craintifs à mon égards, une page d'histoire doit être tourné et c'est avec vous que cela doit ce faire.

Elèna avait bien une petite idée sur la façon de procédé, mais son père le seigneur des guerres était bien plus doué qu'elle concernant des projections futurs.

Apparence d'Elèna/Harmonie [ Sans les oreilles d'elfe, kit en cour ] Si quelque chose ne va pas pour le rp Mp ^^

http://images.forwallpaper.com/files/thumbs/preview/107/1079883__beautiful-elf-archer_p.jpg
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Ménélas, le réceptacle d'Arès, restait la, immobile sur son trône, contemplant cette mystérieuse Elèna prête à risquer sa vie pour devenir l'hôte de sa fille Harmonie. Le sourire aux lèvres, il savait que dans tous les cas, la situation serait excitante. Effectivement, si la Berzerker de Cadmos venait à échouer, elle subirait une malédiction qui à coup sur ferait rire le dieu des guerres, mais à contrario, si elle réussissait, elle ferait revivre son unique fille, celle qui deviendrait une arme fatale pour la cité de Sparte.


Toujours dans un silence immuable, le dieu vengeur pu entrevoir l'âme de sa fille, coincée entre ce monde et celui des dieux, une malédiction engendrée par son grand-père lui-même. Décidément, comment un papy pouvait faire cela à sa petite fille, il fallait avoué que sa famille était un peu spéciale .. Chronos qui voulait bouffer son fils Zeus, qui lui-même scellait l'âme de ses petits enfants .. comme le disait le proverbe, on ne choisit pas sa famille.


Arès contemplait alors la rencontre, déjà prédit par les moires eux-même, entre une de ses fidèles guerriers et sa fille. Les deux âmes semblaient compatibles, tout comme celle de Ménélas était compatible avec celle d'Arès. Cela voulait donc dire que Elèna était la seule personne sur terre, mortelle et immortelle compris, à pouvoir vivre avec cette malédiction. Le père et la fille allaient enfin pouvoir être réunis.


Quand sa nouvelle protégée lui demanda si elle pouvait être appelée Elèna, Arès ne répondit pas, il se contenta de faire un signe de la tête en guise de oui en réponse. En réalité, Arès était heureux, satisfait même, de voir que ses plans se dessinaient avec une précision diabolique. Même s'il était dans l'inégalité, le dieu vengeur savait qu'il faisait cela pour le bien de son peuple, pour le bien de l'humanité. D'ailleurs, Arès pouvait bien reconnaître sa petite protégée, qui s'inquiéta même de sa venue sur terre, qu'elle ne provoqua une sanction Olympienne vis à vis de son père. Elle était si pure, si innocente, elle ne gardait aucune haine envers son grand-père. Il fallait avouer qu'elle tenait ce comportement de sa mère Aphrodite, cela ne faisait aucun doute.


Une fois l'incarnation terminée, le peuple Spartiate pouvait admirer la nouvelle Elèna. Une femme se rapprochant le plus de la beauté éclatante, de celle de sa mère la déesse de la beauté. D'ailleurs, cette nouvelle guerrière Spartiate qui dégageait une puissance à la fois grandiose et étrange, du à cette malédiction certainement, prit des initiatives en se plaçant à côté de son père. D'ailleurs, elle n'hésita pas à organiser une fête en son honneur ainsi qu'à celui de son père, et il aimait. C'était l'organisation la plus fiable pour motiver les troupes et garder une cohésion indénouable. Et puis, toujours de son oeil observateur, le dieu de la guerre observa que sa fille tenait un esprit stratégique qui venait de lui, comme par exemple l'argument donné par cette dernière pour qu'on continue de l'appeler Elèna.


Alors que la fête battait son plein dans la grande et resplendissante salle du trône, et même dans les rues de la ville, faisant de Sparte une cité de nouveau vivante, le dieu de la guerre se leva et ordonna à ses subordonnés de faire silence, il allait à son tour parler.


" Je félicite Elèna pour sa qualité d'élu, et je souhaite à ma fille chérie un très bon retour sur terre. Ensemble, nous détrônerons ces chiens de chevaliers et leur déesse de leur statut de protecteur de la terre, et nous rétabliront l'ordre et la richesse du mot guerre trop longtemps bafoué. Je ne cacherais à personne que j'ai libéré ma petite contre l'autorité du roi des dieux, mais au diable, je suis Arès après tout. "


Arès se tourna vers sa fille, puis lui saisie ses mains avec les siennes, avant de reprendre son monologue. La foule l'écoutait avec grand intérêt. 

" Pour promouvoir le retour de notre déesse, je l'a chargerais elle, avec une poignée de ma garde personnelle, de se rendre dans le grand nord, chez les Ases, puis en Asie rencontrer ces fameux Nyorais pour présenter nos salutations, ainsi que nos projets. Concernant les Marinas et les spectres, ils sont actuellement en guerre, nous leur rendront visite ultérieurement. Profite de cette soirée en ton honneur ma petite, que tous les spartiates lui rendent hommage. Buvez, faites l'amour à vos hommes et femmes, mangez à votre faim, battez vous comme des Berzerkers, demain sera un autre jour, et je compte sur la présence féminine de toi, Elèna, pour détruire les préjugés qui me collent à la peau grâce à ta bonté divine et ton esprit stratège. C'est le début de l'apogée de notre faction. "

Après avoir donné ses instructions, Arès embrassa le front de sa fille, puis disparu derrière le voile rouge derrière son trône. Personne ne savait ou il partait. Certains pensaient qu'il allait encore disparaître durant des siècles, d'autres pensaient qu'il allait devoir rendre des comptes à son père à cause de l'orage qui approchait au dessus de Sparte. Ce qui était sur, c'était que le dieu de la guerre et de la vengeance avait déjà des projets, et il comptait sur sa fille en tant que porte étendard, mais aussi comme crainte vis à vis des autres divinités pour rassembler un maximum d'allier, et défaire Athéna et son armée. 


Arès quitta alors une Sparte en folie, qui ne cessa de crier avec joie et panache le nom des deux divinités réincarnés. Depuis des siècles, le peuple de Sparte se sentait de nouveau puissant et soutenu, et ce qui était certain, c'était que le moral de chacun des hommes, femmes et enfants étaient au beau fixe.
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Lorsqu'il mit ses mains autour de celle de sa fille et qu'il lui fit un baiser sur le front la demoiselle ne put s'empêcher de rougir, elle aimait cette attention qui lui accordé certes, mais devant toute une foule ? Elle ne voulait pas paraître l'enfant chétif et aimé, mais gardé son image de guerrière voulant redonner à la cité son éclat d'Antan. D'ailleurs ce fut compris par son père, il l'appela également par le nom de l'hôte de sa fille ce qui la fit sourire, la gentillesse du dieu de la guerre en cet instant surprendrait bien des divins pensa t'elle il était certes aussi fort et violent que toujours, mais bien plus calme qu'avant, il leur faudrait changer d'opinion et elle serait la porte parole.


La première mission de la divinité était donnée, la Sparte renaissante devait savoir où en était les différentes factions et savoir qui pourrait être d'éventuelles allier, comme elle le souhaitait son père lui donna lui demanda de se rendre au royaume d'Asgard, la déesse en était ravie elle pue d'ailleurs ressentir ce sentiment de la part de son hôte, en effet Elèna avait vécu 20 ans dans la contrée d'Asgard, elle connaissait les villageois leurs façons d'être, ce qu'ils faisaenit et enduraient pour la survie du monde, en somme c'était là une excellente opportunité pour Harmonie de ce rentre dans les terres d'Odin afin de tenter de lier les fières Asgardiens aux vaillants Spartiates.


Mais avant cela Festoyons !


Tandis que son paternel quitta les lieux laissant les habitants fêter cette événement comme il ce doit Elèna ce servis un verre et vint trinquer avec ces frères, bien qu'elle était aussi belle et sage que sa mère, elle possédait certains vice de son père, notamment le goût excessif de la fête et son tempérament explosif lorsqu'on la contrarie. Elle leva le verre ce mélangent aux Spartiate c'était le seul qu'elle finirait car elle irait rejoindre les terres glacés du grand nord et partirait d'ici peu.



« Père, ne faite rien qui puisse vous nuire... »


Une légère inquiétude au sujet de son père concernant son éveil puis elle s'éloigna doucement saluant les spartiates de la main et les invitants à poursuivre les festivités, elle quitta donc la citée à son tour, en pensant à une éventuel malédiction mettant terme à la vie de sa tante.. Athéna...
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Le chemin avait été beaucoup plus long qu'ils avaient cru. Une pause avait été fait à New York pour hospitaliser Takeya dans les locaux secrets de l'Heaven Inc, sous le bâtiment principale.

Une nouvelle machine médicale avait été mise au point. Le sujet était plongé avec un respirateur dans un liquide régénérant et branché à divers câble et tuyaux vérifiant ses signes vitaux après avoir subi toutes les interventions  curative et chirurgicale nécessaires. Le sujet régénérait alors à une vitesse supérieur à la normal dans des conditions optimal. Les chevaliers noirs n’avaient pas de dieux puissants derrière eux, mais ils possédaient la  science et la technologie la plus développé actuel et n’hésitaient pas à s’en servir.  

Malgré tout, le Seigneur noir avait été gravement blessé lors de son combat contre le général de Poséidon qu’il garderait des cicatrices et mettrait du temps à se remettre de ses blessures. Là, dans son monde du silence, il finissait de se soigner, mais rageait intérieurement de sa défaite, lui qui pourtant en général n’était pas mauvais perdant à partir du moment ou il s’amusait dans un combat ne comprenait pas pourquoi il n’arrivait pas a digérer sa défaite…

(« Allons à Sparte. »)

(« Pardon ? »)

(«  Allons à sparte, tu finiras de guérir là-bas. Il s’y déroule actuellement un grande fête, je l’ai vu par tes yeux sur ce que tu appelles écran, par notre œil divin. »)

(« L’œil de Caïn ? Oui, je vois de quoi tu parles, mais pourquoi aller à sparte maintenant. »)

(« Je crois…. Non, je sens que mon père et ma sœur son réveille. De plus ton ami Iblis à longtemps été l’hôte de mon frère. Les berz bouge et je veux voir ce qu’il en est. Ne t’inquiète pas, je resterai avec toi, je n’ai plus l’envie  de me joindre à eux et tu es l’unique hôte dont j’ai besoin. Non, je veux simplement y aller pour saluer mon père et lui montrer notre puissance, ainsi que de m’enquérir de ses intentions  envers cette humanité que tu chéri tant. »)

(« Bien. »)

Le traitement se conclu positivement quelques heure plus tard et dans le même temps, le nouveau prototype du Black Bird fut créé. Quelques minutes plus tard donc, ils s’envolèrent vers la Grèce et Sparte.



Sparte, quelques heures plus tard.


Le gigantesque oiseau d’acier se posa à l’aéroport le plus proche. Il était bien plus grand et bien plus solide que l’ancien et comprenait une soute supplémentaire et le Seigneur noir gardait sa moto personnel.  Pour l’occasion, le jeune homme était vêtu sobrement d’un jean délavé sombre, d’un t-shirt  rouge foncé et d’une grande veste de cuir. Il enfourcha l’engin et démarra, mit les gaz et surgit hors du jet à une vitesse étonnante pour le peu de recul qu’il possédait. Fonçant sur la poste d’atterrissage, il utilisa un escalier roulant comme tremplin et disparut dans le lointain direction la cité des Spartiate.

Il roulait vite, très vite et en peu de temps arriva à destination. A chaque fois qu’il rencontrait un obstacle, il le poussait d’une décharge de cosmos sans pour autant el détruire, une décharge cosmique mélange de son cosmos et de celui de Déimos, comme une signature, une salutations, peut être un pied de nez…

Il alla tout droit, comme si il connaissait le chemin. En réalité Déimos le connaissait, même si il avait pas mal changé depuis la dernière fois qu’il y avait mis les pieds. Une fois devant le Colisée, ils stoppèrent quelques seconde leurs chevauché sauvage afin de se poser la juste question comment renter ? De façon diplomate ? Ou… comme des Terreurs. Les deux hommes avait soudain rajeunit sans savoir pourquoi. Était-ce l’effet que leur faisait la ville ? Toujours fut-il que Takeya remis les gaz et se servit d’escalier pour monter sur l’un des immeuble environnant à hauteur de la salle du trône d’Arès comme lui soufflait son camarade.

Et c’est avec fracas et éclatement de gaz que l’engin diabolique du Seigneur noir éclata avec l’aide d’un peu de cosmos ce qui le séparait de son père spirituel pour atterrir en plein banquet, pile poile devant le trône a tonton !

« Salut la compagnie ! On vient vous saluer par politesse avant d’aller voir papy ! je dis on pour ça ! »


Et une nouvelle déflagration de cosmos explosa devant l’assistance. Dénua d’agressivité, mais non de puissance, elle avait la net signature de Déimos, même si la cosmos énergie de Takeya prenait autant de place. Inutile de dire que la chaleur monta d’un cran !



[hRp] J'hésitais à créer un nouveau sujet, finalement suite au mp d'Arés, je continue dans celui là. ,'n’hésitez pas à me mp si soucis.^^" [HrP]
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Arès se satisfaisait de l'ambiance festive qui régnait dans sa cité, tout était parfaitement imbriqué, ses plans se déroulaient sans accroc, la réincarnation de sa fille, sa nouvelle incarnation, son ovation auprès de son peuple ...  Son retour sur terre était parfait, Athéna pouvait s'inquiéter, il allait la vaincre définitivement et prendre sa place, protégeant ainsi la terre et sauvegardant l'honneur du mot guerre et honneur.


Alors que ses pas raisonnaient dans le couleur de son palais, seul, Ménélas, l'hôte d'Arès marchait lentement en direction de son temple pour consulter ses Oracles, il lui fallait quelques réponses à ses questions. Car même s'il avait des projets honorable, peu de ses Berzerkers s'étaient réincarné, il lui manquait de l'effectif, et cela allait poser quelques problèmes s'il voulait vaincre sa soeur.


Alors qu'il continuait de marcher, ses pas s'arrêtèrent nets. Son regard fût sec, sérieux. En réalité, une énergie venait de troubler son calme. Cette énergie qu'il connaissait semer en lui une excitation extrême qui se traduisait par un sourire plein de fierté. C'est alors qu'il fit demi tour pour rejoindre l'origine de cette puissance qui semblait l'appeler : sa salle du trône. 


Après avoir rebroussé chemin, Arès retrouva l'euphorie de la fête, puis il rejoignit son trône, intrigué par cette puissance familière avant d'être ovationné par son peuple. A peine assied, le seigneur de la guerre fût rapidement entouré des trois plus belles femmes de la cité âgé toutes les deux d'une vingtaine d'années, se répartissant à sa gauche, droite et derrière lui, se faisant masser et dorloter, lui qui était un conquérant de la gente féminine, un amoureux des femmes.


Au milieu de cette foule en fête, se distinguer un homme, celui dont provenait cette puissance fulgurante qui possédait une partie de sa propre aura. Etant un père, il ne tardait pas à reconnaître l'aura de son fils Déimos, le représentant de la terreur, lui qui l'accompagna pendant des siècles sur les champs de batailles. Étrangement, il semblait s'être incarné en ce corps d'homme tout comme lui l'était dans le corps du petit fils de Ménélas de Sparte.


Affaissé sur son trôné, ne montrant aucun signe de reconnaissance visuel vis à vis de son fils, Arès décida de s'amuser un peu avec son fils, histoire de voir s'il était toujours le même homme impitoyable et terrorisant assoiffé de guerre et de sang. D'un geste de de l'index et de l'annuaire, le dieu de la guerre fit venir un de ces deux molosses qui gardait le passage entre la salle et son trône, puis lui adressa quelques mots à l'oreille, toujours dans cette ambiance de folie.


Le sourire aux lèvres, esquivant intelligemment le regard de son fils, le dieu de la guerre se réjouissait d'ors et déjà de ce qui allait se passer. Quelques longues minutes après, la garde souffla à nouveau dans le cor de la guerre, mais dans un son différent. Les spartiates, dans un cri de joie tonitruant, s'écartèrent avant de se mettre en cercle rapidement. Seul son fils restait immobile, paralysé par la puissance d'Arès qui le figeait volontairement. Une dizaine de gardes amenèrent alors, enchaînés à des multitudes de chaînes, trois hommes d'une tailles immenses et à la carrure monstrueuse qui se ressemblaient. Ils étaient déchaînés, les gardes spartiates résistants difficilement à la fureur de ces trois titans.

Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! 12_15y10

De son fameux trône, toujours aussi bien entouré, Arès prit alors la parole dans un silence divin, tous le monde buvaient la parole du dieu vengeur qui s'attendaient à une activité sanglante. 

" Mon bien aimé peuple, pour continuer de fêter ces événements spartiates qui font honneurs à la cité guerrière, je vous offre un combat à mort, un combat sanglant, un sacrifice à ma personne. Cet inconnu qui nous fais l'honneur de sa visite sera le gladiateur qui devra gagner pour me faire honneur. Face à lui, ces trois monstres perses capturés il y a des années, des guerriers qui ne pensent qu'à tuer, des assassins réputés dans tous l'occidents capturés par nos fidèles Berzerkers. Voici les règles : Il n'y en a pas ! "

" Hahahahahahahahaha " Rigola fièrement le dieu de la guerre, suivit par l'éclat de rire de la foule.

" Que le combat commence ! "

Arès à travers Ménélas savourait ce moment en testant son fils qui allait affronter trois puissants psychopathes qui valait chacun une trentaine d'hommes. A travers ce combat à mort, le dieu de la guerre testait son fils mais aussi son hôte, était-il méritant d'être le réceptacle de Déimos ? S'il mourrait, la réponse serait clair, s'il survivait, il pourrait alors lui offrir une audience, même si rien n'était gagné pour cet homme qui portait une armure noire du lion. Les trois jumeaux et assassins connus dans le monde entier pour leurs forces et leurs sauvageries, munis de longues épées, ne pensaient qu'à une chose : déchiqueter et manger Takeya.
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(hRp) Takeya est en jean, new rock sombre classique, te-shirt rouge foncé et blouson de cuir hein, son armure est dans l'avion.^^(hrP)

Les éclats de verres tombaient encore en pluie de neige autour du Seigneur noir, qui regardait dans la direction du père de Déimos. Soudain, un grand bruit se fit entendre, un bruit de foule en délire. Trois colosse furent amené et l'on libéra la place d'une arène de combat. le lion eu à peine le temps de jeter son blouson de cuir sur l'une des table proche et de s'écarter de sa moto que la bataille était lancé.

("c'est un farceur ton paternel... Heureusement que tu m'as dis qu'on allait à sparte pour la fin de mon rétablissement...")

("Bah en même temps vu comment nous sommes arrivé...")

("Ouai, Nous, ça veut dire que t'as participer hein... Enfin nous sommes à spartes... A quoi pouvais je m'attendre d'autres...")

Durant ses réflexion, les trois titans furent libéré de leurs et d'équipèrent de leurs monstrueuses épée. Et le combat commença. Takeya avait toujours été d'un naturel souple et les pirouettes qu'il effectua pour éviter les premières attaque des trois perses auraient du être pour lui d'une facilité déconcertante.

Cependant, il venait d’enchaîner dans les dernière semaines deux combat contre des chevalier aussi puissant si ce n'était plus, que des chevaliers d'or, ses plaies étaient encore fraiche et malgré le system médical ultra performant de l'heaven inc, certaines se rouvrirent des les première minutes. le combat était rude, même pour des humain non éveillé, ces trois hommes étaient puissants et les passe d'armes s'enchainaient à une vitesse ahurissante. En temps normal, le Seigneur noir aurait déjà déchainé son cosmos et sa puissance, mais les blessures interne que lui avaient laissé le général de triton et le maitre des immortel se faisaient gravement sentirent et le chevalier noir peinait à tenir le rythme. les coups étaient dure et des gerbes de sang éclataient ici et là.

Même si il adorait le combat, le manipulateur de flamme  restait un humain, même si il était l'incarnation de la terreur, son corps lui restait mortel. Il serrait les dents et regrettait de plus en plus de s'être servit du feu noir sans réellement savoir comment le canaliser.

Soudain, un coup d’épée latéral d'une puissance non négligeable le frappa par la droite et sa parade ne fut pas assez bonne. Il fut coupé en deux par la gigantesque lame!

Du moins, c'est ce qu'il crut, c'est ce que tous le monde cru en fait, ce qui se passa était incroyable, inexplicable alors que son buste tombait séparé de la partie inférieur de son corps, tout se brouilla comme des parasite sur une chaine de télé et l'héritier de Prométhée réapparut derrière l'un des colosse perse.. Tout semblait se passer comme au ralentit.

dans la tète du lion noir hurla une voix tendis qu'il croisait le regard de la bête esclave prisonnière depuis des siècles...

"libères moi! libères mon âme de ses chaines! je ne suis plus de cette époque et même mes maitres me persécutaient! libères moi! libères nous!"


Malgré la violence du combat, malgré la hargne des perses, c'est comme si ceux-ci demandais au chevalier noir de les libérer de leurs souffrances par la mort... Takeya détestait tuer. il trouvait ça inutile et contreproductif. cela faisait des années qu'il n'avait plus enlevé une vie et cela le répugnait, mais voir ces pauvres malheureux désespéré demander grâce malgré leurs acharnement le rendit triste et lui fit ressentir leurs désespoir...

Dans un hurlement bestial, alors que de nouvelles blessures s'ouvraient sur son corps couvert de cicatrices, Alors que la pluie de lames s’ablataient sur le fauve des ombres, une énergie nouvelle explosa en lui, comme si il accédait à un nouvel  univers, un univers ou ses yeux devint doré, ou ses cheveux prirent une teinte bleuté et ou le sang de ses blessures formait des tatouage tandis que ses plaies elle même se scarifiaient, faisant apparaitre des symboles anciens.

L’atmosphère devint terriblement oppressante, tandis que de sombre flamme dansait autour de la pièce, et dans un mouvement presque invisible tant sa vitesse était élevé, le premier perses fut à son tour coupé en deux tandis que semblant sortir de son abdomen, le lion couvert de sang fonçait sur le second afin de le décapité d'un revers de main. malgré la défenses parfaite du guerrier, la main brisa la lame et la tête fonça à pleine vitesse sur celle d'Arès; Quand au troisième, attaquant dans le dos, il fut lui aussi coupé en morceaux par un coup de coude donné au niveau du torse; en un instant, alors que tout semblait perdu, le maitre de la main noire se retrouva debout, dégoulinant de sang et entouré de morceau de cadavre, plongeant son regard dans celui du dieu de la guerre alors que la salle reprenait une apparence normale, rien ne semblant avoir changé à cause de l'affrontement.

"Ça m'avait manqué tiens...  Bon, je venais histoire de prendre la température rapport à l'humanité, pis aussi te saluer père de mon hôte., tu vas finir par avoir un troisième fils si notre collaboration continue!"

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[HRP: Vu que le reste du début de cette histoire se fait en fb, y a des trucs dont je parle qui sont pas encore arrivés. Sorry pour le pavé aussi ^^]

Plus le temps passe et plus respirer devient difficile. Plus j'avance, et plus les éraflures sur mes bras deviennent des lésions profondes jusqu'à en faire gicler le sang. À chaque pas que je fais, je sens cette armure que je n'arrive pas à voir devenir de plus en plus lourde sur mes épaules. Et ces voix dans ma tête me répètent sans cesse ces idées qui sont les miennes: je ne dois plus être la seule à avoir mal. Les autres doivent souffrir. Ceux qui ne sont pas moi. Les voix ne souffrent pas. Mais moi, j'aimerais presque en mourir.
Ce serait mieux que de vivre avec la réalité. Sargas est mort. Vermalis ne me reconnaît plus. Je suis aveugle. J'ai dû fuir l'endroit que je considérais enfin comme ma maison. Et ma famille? Perdue à nouveau.

Depuis combien de temps je marche? J’ai fui le Sanctuaire il y a quoi, un jour? Deux? Seul l’instinct me guide, j’ignore où je suis et où je vais, j’essaie de ne pas ouvrir les yeux mais c’est plus fort que moi, et quand ça arrive, j’ai l’impression que je pourrais en mourir. Ça fait tellement mal… Mais qu’est-ce qui ne fait pas mal, au final? Je ne sais pas comment je fais pour tenir debout, mais je continue, trop secouée par les sanglots pour respirer normalement.

Pourquoi? Qu’est-ce qui a dû se passer pour que j’en sois là? Qu’est-ce que j’ai fait de mal? Moi rien probablement, rien qui ne puisse justifier tout ça, mais alors qui? Et pourquoi?

Celui qui a causé ça, tu vas le retrouver. Et tu vas lui donner ce qu’il mérite.

-Oui…

Iblis m’a tué. Il m’a transformé en monstre, il a tué ma sœur et je le ferai souffrir comme il n’aura jamais souffert avant pour ça. Mais ce n’est pas lui qui m’a enlevé Vermalis, et… je ne crois pas qu’il ait tué Sargas.

Ben voyons! Il a menacé de le faire, pourquoi pas?

-Parce qu’il avait menacé de tuer Arsiesys… et qu’il ne l’a pas fait…

Arsiesys. Le simple fait de penser à lui me serre la poitrine, fort, et je dois m’arrêter pour reprendre mon souffle. Il m’a caché la vérité sur Sargas, au final il n’a rien pu arranger, mais il est resté avec moi là où tous les autres m’ont abandonné. Et quelle importance? Il n’a pas atténué le mal qui m’a été fait, loin de là, mais avais-je besoin de lui en faire autant en retour? Ce n’était pas sa faute. C’est quand je cherche un coupable que je semble ne trouver personne.
Alors qui doit payer? Personne?

Tout le monde.

-Non. Pas ça.

Bah si.

-J’ai dit non!

Un truc se pose sur mon épaule. Je hurle de peur, trébuche et tombe par terre. J’entends vaguement un autre cri, juste derrière moi, mais ça n’a rien d’humain. Animal, probablement. Quelques secondes plus tard, il y a un battement d’aile, et un truc me tombe sur la tête.

-Aïe!

Il y a ensuite un bruit de chute plus loin. Sans y prêter attention, je tente de retrouver ce qui m’est tombé dessus, avant de poser les doigts sur un… truc emballé dans du tissu. À tâtons, je déballe, et reconnais là matière métallique et la forme comme étant un masque. Un nouveau cadeau du Verseau? Je l’enfile. Ça ne règle rien. Je suis encore aveugle, je suis encore horrible à regarder même si je me cache. Tremblante de rage, je me relève.

-Voilà ce que ça règle! Voilà ce que ça me fait.

Rien. Absolument rien. On ne peut pas me sauver, ni me réparer. J’ouvre les yeux pour le prouver, montrer à quel point on ne peut plus m’épargner la douleur… mais surprise.

Non seulement je n’ai pas mal, mais je vois parfaitement. Comment mes yeux ont-ils pu guérir si vite? Ce n’est quand même pas grâce au masque? Je le retire pour vérifier. La brûlure qui en découle me convainc de le remettre.

Qui a pu faire ça?

-Je l’ignore.

Un autre cri attire mon attention. À quelques mètres de là se trouve une chauve-souris. Sidérée, je m’avance et la ramasse doucement. Elle doit être épuisée car elle ne fait rien pour m’échapper.

Prayer

Qui d’autre? Je me souviens de ses ailes. Qui d’autre aurait eu la ressource pour le faire? Ma sœur appartient aux Enfers, et au point où nous en sommes, moi aussi, elle est la seule à pouvoir accomplir ce genre de miracle avec les bonnes ressources et pouvoir me le transmettre. Au moins, il y a quelqu’un sur qui je peux toujours compter.

Mais le sentiment ne s’efface pas. Je sais maintenant que je suis près d’une route, mais j’ai encore cette impression que je dois aller dans une direction précise.  Comme en transe, je continue la route. L'immense chauve-souris s'est accroché à mes épaules et se repose, je la laisse faire en ignorant les frissons qui me parcourent les bras. Je ne dois pas la tuer, pas encore... je plante mes ongles dans ma cuisse pour m'en dissuader, ravageant ma chair et faisait couler encore plus le sang. Les voix me disaient de suivre le guide. Je les ai ignoré parce je croyais qu'il n'y en avait pas, que j'étais toujours seule et que je m'étais perdue trop loin pour être sauvée, mais maintenant je crois que c'est faux. C'est l'armure rouge, mon guide. Je veux savoir où elle m'emmène.

C'est sa faute si tu es là.

Je tente d'ignorer la voix. Quelques secondes plus tard, je m'empêtre dans la grande cape et tombe par terre, mais je n'arrive pas à le relever. Les voix m'attaquent sans pitié à nouveau...

T'es pitoyable! T'es une incapable qui tient même pas debout! C'est ta faute, tout est de ta faute, tu ne fuiras jamais pour toujours!

Je hurle pour qu'elles arrêtent, mais rien à faire. Je me relève en pleurant, ma voix n’étant plus qu’un simple murmure suppliant, et poursuis ma route. Peu importe comment je supplierai, jamais elles ne se tairont. Je ne peux rien y faire.
Les minutes, si ce n’est pas les heures, passent, quand j’entends ce qui ressemble à une foule. Des milliers de voix excitées, encore lointaine, le son d’un cor de guerre… rien qui ne devrait m’intéresser mais tant d’émotion semble s’en dégager que ça pique ma curiosité. Et puis, ça semble être sur mon chemin. Me servant de mes nouveaux yeux, je me mets en marche sans aucun problème, évitant les obstacles, arrivant lentement mais surement à ne penser à rien d’autre qu’au rythme de mes pas, à ma vitesse de marche. Mes muscles sont déjà endoloris, mais la légère douleur qui en découle me fait plus de bien que de mal, au fond… et plus les bruits semblent se rapprocher, moins je pense… plus je m’approche de ce qui ressemble à une ville, plus je sombre dans un état de transe. Je vois la ville, mais sans la remarquer. J’entends des gardes qui m’interpellent, mais n’y prête aucune attention. Tout ce que je veux, c’est trouver ce que l’armure, ou peu importe qui est mon « guide,» tient tant à me montrer.  Pour qu’elle me laisse enfin tranquille.

Aucun garde ne m’arrêtera. Je créé distraitement un mur d’aiguilles autour de moi pour m’en assurer.

Le reste se passe si vite… enfin, peut-être, je n’en serai jamais certaine. Je me fraie un chemin à travers la cité, curieusement peu peuplée, traversant les rues et ruelles à l’aveuglette, sans vraiment regarder où je vais. J’entre dans le Colisée, il commence à y avoir plus de monde, mais alors que je grimpe l’escalier, je ressens une autre énergie, puissante et terrifiante. Trop familière pour que je ne l’associe à quoi que ce soit d’autre qu’au désert, à sept jours de torture, à la mort, à la peur, à la douleur…
Iblis.

Je m’arrête. Je sens que je dois continuer, mais je ne peux pas. Je ne peux pas me retrouver face à lui, je ne pourrais qu’en mourir une deuxième fois. Je veux m’enfuir, mais je n’y arrive pas. Ça me prend toute ma force mentale pour ne pas foncer tête baissée, et les voix dans ma tête m’attaquent à nouveau.

Tu veux y aller, hein? Tu veux le faire payer pour tout ce qu’il t’a fait! Vas-y, qu’est-ce que t’attends!?

-Je ne peux pas! S’il vous plaît, tout mais pas ça, je ne peux pas!

Une douleur horrible me traverse la tête alors que je me retiens de crier pour ne pas attirer trop d’attention. Les voix aiment m’entendre quand je désespère, elles sont comme lui, elles se nourrissent de ma peur… et de ma colère, et de toute la souffrance que je vis et fais vivre. Je ne dois pas leur permettre… de faire ce qu’elles veulent… le guide non plus, c’est un menteur, il va me faire du mal…
Je dois tous les détruire. En commençant par Iblis.

Tu vois? Tu vas le faire.

J’ignore la voix et prends mon courage à deux mains avant de grimper les escaliers d’un pas rapide. C’en sera fini rapidement, je vais le tuer, une seule aiguille bien placée et ce sera fini… fini pour toujours… Une seule fois, une seule, et je n’aurai plus jamais à le faire. Pour le bien de tous.

Tu vas y prendre plaisir. Tu veux y prendre plaisir.

Non. Je… je ne veux pas aimer la torture. Je l’aime bien malgré moi, je pourrais l’infliger sans jamais m’arrêter, mais je sais que je ne dois pas. Je ne suis pas comme ça…

Oh que si.

J’entre dans ce qui semble être une salle de trône. Dur à dire, car l’endroit est bondé de monde, impossible de voir exactement ce qui se passe, mais quelque chose attire l’attention. Je bouscule la foule pour m’approcher, trop tentée par la curiosité et par la rage, car si c’est bien ce que je pense…

Au moment où j’entre dans le cercle formé par les spectateurs, ma nouvelle armure disparaît. Je me retrouve donc, simple fille masquée vêtue de loques, entourée d’une marre de sang et de morceaux de cadavres et face à un homme qui, s’il a une énergie semblable à celle d’Iblis, ne lui ressemble pas du tout. Ce n'est pas lui.
Je ne comprends pas. Comment ça peut ne pas être lui? Comment n’importe qui pourrait lui ressembler? Et… qu’est-ce que j’en fais?
 
Tue-le.

Non. Trop tard, maintenant que l’idée a été énoncée, je sens l’odeur du sang me monter à la tête, les envies de meurtre resurgir… lentement, je ferme les yeux, tremblante, et incapable de me contrôler plus longtemps, je clame d’une voix forte :

-Je veux me battre aussi.

J’ouvre les yeux et mon cœur fait un autre bond de géant dans ma poitrine. Plus loin, assis sur un trône, se trouve un autre homme aux longs cheveux rouges. Et bien que la ressemblance semble s’arrêter là, je ne peux m’empêcher de penser à Sargas. Incapable de soutenir son regard, je baisse la tête. C’est ridicule de penser que qui que ce soit puisse jamais remplacer Sargas… ou tous ceux que j’ai perdu. Ceux qui avaient assez de temps à perdre pour aimer une simple Chevalière d’argent n’en auront plus assez pour aimer un monstre aux prises avec assez de démons pour repeupler l’Enfer.

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La foule était en délire, ivre d'adrénaline de pouvoir assister à un combat sanguinaire, un combat à mort ou le sang allait repeindre les visages et ou l'odeur de la chair déchirée allait imprégner la moindre parcelle de ce lieu au combien sacré. Les spartiates avaient tous retrouvaient leurs esprits de guerriers éteint avec le départ de leur divinité, mais à présent, eux comme Arès, ainsi même que la cité elle-même venaient de renaître de ses cendres, le royaume d'Arès n'avait jamais semblait être aussi majestueux, aussi craintif.


Arès, entourait de ses trois divines créatures qui s'occupaient de masser et détendre le dieu, lui bien ancré dans son trône, assistait avec une certaine curiosité au combat qui allait débuter. Bien que les trois créatures n'étaient pas vraiment puissante, ensemble elles pouvaient se montrer redoutable. Ce Takeya allait-il être assez puissant pour savoir maîtriser la grande puissance de son fils incarnant la terreur sur les champs de bataille ? Il allait le découvrir.


Alors que les spartiates entourèrent l'étranger, les trois jumeaux se lancèrent dans l'affrontement, eux qui n'avaient pas étaient nourris depuis bien longtemps pour accroître leurs fureur. Ménélas, en tant qu'homme, avait des frissons, ce combat était pour lui un avènement. D'ailleurs, alors que l'affrontement était en cours, la foule était hystérique, clamant le nom de cet inconnu, réclamant du spectacle sanguinaire.


Après un spectacle de courte durée mais qui n'en resta pas moins magistral, Ménélas, qui possédait une des têtes d'un de ces monstres, ricana pendant quelques secondes, puis il brûla avec ses flammes en une fractions de secondes la tête sans cervelle de cette brute avant d'applaudir de ses deux mains. Les spartiates eux étaient transcendés, du sang avait giclé sur le visage de certains spectateurs qui venaient se faire lécher cette masse d’hémoglobine par d'autres citoyens, d'autres s'embrassaient langoureusement ... mais tous festoyaient avec de l'alcool, à manger, devant ce spectacle terrifiant mais tellement excitant.


Ce Takeya, blessé avant son combat, semblait lui aussi apprécier l’événement. La divinité semblait avoir un élan d'affection envers cet homme, sans considérer qu'il était l'hôte de son fils. Il avait fait preuve d'honneur en combattant trois ennemis dangereux dans son état, et de puissance en gagnant le combat. Il était à présent le bienvenue à Sparte, et pouvait s'amuser tant qu'il le voulait. D'ailleurs, Ménélas allait le lui signifier avant qu'une autre voix venu d'ailleurs le coupa dans son élan.

-Je veux me battre aussi.


La foule se calma alors sous l'intonation de cette voix forte, une voix féminine. Arès esquissa de nouveau un sourire en regardant en direction de cette femme qui portait un masque et semblait elle aussi mal au point, son corps étant couvert de loque. D'ailleurs, Arès pouvait sentir l’afflux du cosmos de son autre fils Phobos encore présent sur les pores de la peau de la guerrière qui semblait l'avoir affronté, et en avoir survécu, surpasser l'incarnation de la peur. Sans être naïf pour autant, le dieu de la guerre sentait aussi sur son aura le cosmos des chevaliers d'Athéna, lui qui les haïssaient autant qu'il détestait sa soeur. D'ailleurs, il ne tardait pas à le faire montrer sur les traits de son visage, grimaçant de colère, avant de se calmer et de prendre la parole.

- Guerrier du lion noir, bienvenue au royaume des spartiates. Festoies, saoules toi, fais l'amour aux femmes aussi chaudes que les braises d'un feu, tu es mon invité. Nous parlerons une fois que la fête sera terminé.  

Arès claqua des doigts, et c'est alors qu'un groupe de ces servantes tous aussi belles les une que les autres, sortirent de l'arrière salle complètement folle et en pleine effervescence , et leurs fit un geste qu'elles comprirent immédiatement, s'exerçant dans un enthousiasme jouissif. Elles étaient vêtu en guerrières, et semblaient aussi sauvages que désirante. 

- Ses femmes amazones sont à toi durant la fête, ce sont des guerrières, fais attention à ce qu'elle ne te tue pas durant l'acte hahahaha. Amuse toi et profite du prochain combat.

Le dieu de la guerre clama alors à cette inconnue de s'avancer au milieu du cercle que les spartiates avaient de nouveau formé. D'un geste de la paume de la main fermé, tous engendrèrent le silence. Ménélas allait de nouveau prendre parole. Mais étrangement, en regardant de son regard le plus profond, quelque chose ce passa. Il ne pouvait l'expliquer, mais il ressentait un sentiment étrange qu'il n'avait jamais ressenti, impossible de le décrire. La première chose qu'il fût, c'était de renvoyer ses trois nymphes d'un geste sec et froid, toujours en fixant d'un regard presque affectueux la guerrière qui n'avait pourtant, d'apparence, rien d’impressionnant, mais cela devait être plus profond en elle ...


Quoi qu'il en soit, elle devait gagner son duel pour rester en vie, pour gagner son invitation à cette grande fête que Dionysos même jalouserait. Bien qu'il avait de l'affection semble t-il pour cette étrangère, Arès n'aurait aucune compassion pour cette dernière si elle ne savait pas se battre, car ce qu'il aimait le plus chez une femme outre son apparence physique, c'était son aisance au combat. Il fallait savoir qu'Arès était un grand amateur de chasse concernant les monstres légendaires, il aimait les traquer et les affronter. Parfois il les tuaient, parfois il les capturaient pour les affronter encore et encore, ou encore il les éduquaient pour en faire des armes de guerre; c'est comme ça qu'il perfectionnait ses techniques aux combats. Regardant son colosse, il lui ordonna:

- Qu'on amène Strygia ! 

La foule repartit alors dans son délire sensationnel et passionnel ! Tous acclamaient son nom: Strygia. Mais qui était-elle ? La guerrière devait se poser, sans aucun doute la question, mais elle n'allait pas tarder à le découvrir. Quelques minutes après, la créature prit place dans la salle du trône, avant d'effectuer trois tours autour de l'inconnue avant de se mettre côte à côte avec sa, peut-être future victime, puis se prosterna devant le dieu de la guerre, toujours assied dans son majestueux trône. 

Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! Colori10

- SssSSssss Je suis honoré de vous revoir mon maître SssSsSss ... Je combattrais et tuerais cette pucelle, mais si le destin le veux, je vous offrirais ma vie avec bravoure et honneur en vôtre divine personne SssSsSssssS .... 

Ménélas, l'hôte d'Arès, fit alors un doux geste de haut en bas envers sa créature en guise de remerciement. il scruta alors la femme masqué et il prit la parole, de sa voix forte.

- Tu as face à toi Strygia la reine de l'étreinte mortelle. Elle est mi-Amazone, mi-Lamia, descendante du peuple des terribles amazones et également le fruit de la lignée des Lamia, les monstres mi-femmes mi-serpents. Sache qu'ici, les femmes combattantes sont appelés Amazones. Elle m'a accompagnée durant d'innombrables batailles et n'a jamais perdu un combat. Elle n'aurait fait qu'une bouchée des adversaires précédents pour te faire une idée. Pas de règle, si ce n'est un combat avec honneur et bravoure, avec vie ou mort. Que la meilleure l'emporte.

C'est alors que la foule repartit dans l'euphorie, clamant le nom du monstre d'Arès qui allait, sans nul doute dans le coeur des spartiates, ne faire qu'une bouchée de la pauvre femme. Arès lui ne faisait aucun pronostic, il savait ce que valait Strygia mais ne connaissait rien de cette fille au masque et au loque qui avait fait honneur de réclamer un combat, qui allait être rude et terrible.








(hrp : 


-Takeya, je te reçois en audience une fois le combat terminé, en attendant tu es le bienvenue pour répondre à la suite de ce RP. ^^


-Obli, je t'ai mis une représentation du monstre que tu affronteras. Pour info, sa queue comporte du poison, je ne le dis pas IN RP pour que tu le découvre toi-même en RP lors de ton combat)
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Épuisé. le grand fauve ne tenait plus sur ses jambes que par la forces de sa volonté. son t-shirt en lambeau  se confondait avec le rouge sanguin qui teintait sa peau et son aura si puissante il y a quelques minutes se résumait à une fine pellicule nacré qui luisait faiblement autour de lui.
Il entendait à peine les cris de la foule, en temps normal, il aurait sans doute adoré cela car son ego se serait sentit encensé par cette joie et ces vivats titanesque, mais le Lion n'en pouvait plus. en quelques semaines, il avait enchaîné les combat contre certains des plus puissants guerrier de la création et le Seigneur noir arrivait à sa limite.
Le Seigneur du feu s'avança vers Arès, mais quelques secondes plus tard, une voix féminine retentit, éveillant la curiosité du félin d'ombre. Il se retourna un instant pour voir l'une des choses les plus pitoyable qui fut passé devant ses yeux. Une petite adolescente en guenilles couvertes de cicatrice suintantes... sa première idée fut d'aller vers elle pour l'aider, mais elle semblait décider à vouloir se battre. Il crut en premier lieu qu'elle en avait après lui, ce qui l'étonna car il ne connaissait absolument pas Oblivion. 
Ses réflexion furent stoppé par la voix d'Arès ainsi que par une cohorte de magnifique guerrière qui accoururent s'occuper de lui. Etant au bord de l'évanouissement, il décida qu'il était un peu temps de s'occuper de lui et se dirigea, toujours entouré des magnifique amazone vers le trône dans l'intention de passer derrière pour attendre  le dieu guerrier. Un immense garde sembla vouloir lui barrer le chemin, Mais Arès lui intima l'ordre de laisser passer le lion, tout en précisant qu'une surprise attendait L'incarnation de Terreur.
Effectivement, derrière le trône et le rideau se trouvait des termes, d'immenses piscine et des plus petite pour la toilette et les soins. Les jeune femme commencèrent alors à s'occuper de Takeya, le caressant, le soignant et le nettoyant, puis lui passant des onguents afin de le régénérer et se soulager la douleur.
Le Seigneur noir se retrouva bichonné, soigné et pansé  commença à se sentir près à passer du bon temps malgré les blessures et plaies qui couvraient son corps
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Soudainement docile, j’avance pour être bien en évidence au centre du cercle, les yeux toujours baissés et enjambant de façon distraite les quelques morceaux de bras, jambes et têtes qui traînent ici et là. Les apercevoir ne fait qu’augmenter mon désir de combat, sang et souffrance, cette soif de douleur à infliger et recevoir en même temps… Je respire bruyamment, lentement, j’aperçois l’autre combattant partir et je fais un geste, presque imperceptible, dans sa direction, comme pour l’empêcher de partir, mais m’en abstient une fraction de seconde plus tard. Le déchirement entre cette vague de colère et de violence envers tous, et un en particulier que cet étranger me rappelle trop bien, et cette minuscule étincelle d’innocence encore présente qui ne veut pas faire de mal à quelqu’un qui, bien que son aura ne me dise rien de bon, ne m’a rien fait, semble capable de m’arracher le cœur. Au final je le laisse partir en serrant les poings, me retenant difficilement de me jeter sur le premier venu dans la foule et de me défouler sur lui. Ça ne va pas. Je ne pourrai pas m’en retenir bien longtemps.
J’ose lever les yeux vers l’homme aux cheveux rouges. Ses servantes sont parties, il me regarde avec attention, et j’arrive à soutenir son regard, soudainement fascinée. Il a quelque chose de spécial, dans son énergie, la puissance qu’il dégage, et bien qu’il ressemble vaguement à mon frère, je pense avec une vague honte qu’il est encore plus beau. Quelle importance, au final? Je sens la crainte et le respect qu’il incite, mais je n’en ai toujours pas peur. Pas maintenant, alors que je suis prête à arracher des têtes à mains nues. Le temps d’assouvir ce désir semble être arrivé.

On appelle une autre combattante nommée Strygia. Je l’observe, ne la perd pas de vue, soudainement incertaine de ce combat, mais impossible de reculer. Elle est plus grande, à moitié serpent, armée, recouverte d’armure, pleine d’assurance… et prête à me tuer. Comme tant d’autres. Mais ça n’arrivera pas, je la tuerai avant. Je ne supporterai plus jamais les regards de mépris comme le sien.

-En garde.

Un sourire cruel lui barre le visage et elle se jette sur moi. Je laisse mon cosmos exploser et tend les mains devant moi, une aiguille géante jaillit du sol devant la guerrière de façon à l’empaler au niveau du ventre, mais elle esquive sans problème et poursuit sa route vers moi. D’autres aiguilles apparaissent devant Strygia, formant un labyrinthe, mais elle ne s’arrête pas pour autant. Bien que ce soit ce que j’aurais voulu, au moins ça a permis de la ralentir. Elle siffle et brandit son épée en direction de ma tête, probablement dans le but de me décapiter.

-Pitoyable!

Impossible de créer d’autres aiguilles à cette distance sans me faire frapper aussi. Au moment où elle s’apprête à me décapiter, je me penche pour éviter le coup. Loin de me sauver la vie, elle a tout le temps de corriger son mouvement et de me fendre le crâne en deux. Je dois être plus rapide. Mais comment…?

Les aiguilles

Non… c’est malsain, comme idée. Mais sinon quoi? Je serre les dents sous mon masque, et prends l’initiative.

Prenant appui sur mes mains, j’envoie mes jambes vers l’avant comme pour la frapper, envoyant une vague de cosmos à l’intérieur de mon corps, rendant l’impact le plus violent possible. Plusieurs aiguilles jaillissent de mes jambes et de mes pieds, interceptant l’épée et la frappant de plein fouet dans un bruit de déchirement écœurant. Nous hurlons toutes les deux de douleur et j’effectue une roulade pour m’éloigner d’elle, incapable de me remettre sur pieds à cause de mes jambes. Malgré les cris de Strygia, j’ignore à quel point ça a été efficace.

Qu’est-ce que tu fais?! Tue-la!

Comment? Mes jambes me font trop mal, le sang en coule abondamment. Je frissonne et laisse une vague de cosmos circuler sur ma peau, refermant les blessures et me permettant enfin de me relever et de faire face à mon adversaire. Ça a fait sérieusement mal… mais j’ai aimé. Comme si ça avait fait ressurgir quelque chose que je gardais pour moi depuis trop longtemps : une douleur enfouie loin dans un recoin de ma tête.
Strygia siffle de colère et recommence son assaut. J’esquive, bloque avec des aiguilles jaillissant de mes bras, attendant qu’elle s’épuise, mais je risque de succomber avant. Je dois agir.

Je ferme les yeux quelques secondes en rassemblant les connaissances trouvées dans le Temple du Scorpion.

-Aiguilles de cosmos… point faible… acuponcture…

J’ouvre les yeux. Strygia est tout près. Je fais un geste de la main, comme si je voulais la gifler, et une aiguille jaillit de ma paume pour se planter directement dans son cœur. Elle hurle et me regarde, en colère et surprise à la fois.

-Tu… Tu…

Ce regard…  est-ce qu’elle est… comme moi? Une fille autrefois normale, devenue monstrueuse et pleine de haine? Ma main me brûle, encore une fois le sang coule à flot. Je viens pour dire quelque chose, n’importe quoi, peut-être changer d’avis et déclarer forfait pour nous épargner toutes les deux, quand ma gorge se bloque. Le lien de fer qui m’enserre le cou semble se contracter et je n’arrive pas à respirer. Je porte les mains à ma gorge, tente de parler mais n’y arrive pas. Pas encore, pas maintenant! Pas en plein milieu d’un combat!

Les voix dans ma tête deviennent de plus en plus fortes alors que vive comme l’éclair, la Lamia passe à l’attaque. Le bout de sa queue me lacère la poitrine, faisant gicler le sang, puis une autre incision apparait au niveau du ventre.  Je tombe à genoux, incapable de me défendre et cherchant en vain mon souffle et elle s’approche rapidement, lève son épée…

Au diable Athéna. Au diable l’armure de la Lyre.

Je veux leur hurler de se taire, mais n’y arrive pas. Et elles n’ont pas tort. Ces deux-là n’ont rien fait, m’ont abandonné, et je n’ai plus besoin d’eux. Dans un souffle presque inaudible, je murmure :

-Au diable… j’en ai jamais voulu.

C’est la fin d’Oblivion de la Lyre. Je ne veux plus de ça. Être douce et gentille, lutter pour la justice, ça ne sert à rien. Je suis enfin prête à laisser ma colère s’exprimer.

La lame de Strygia s’abat sur ma nuque. Et éclate en morceaux.

-Que…

Je suis recouverte de l’armure rouge et noire. Un casque d’or me recouvre la tête, une lourde cape blanche tombe sur mon dos, des bracelets me serrent les bras, et partout où elle ne me protège pas, des aiguilles sortent de ma peau et le font pour elle. Je me relève, tremblante.

-MEURS!

Le combat reprend. Je riposte avec force, le corps de la femme-serpent est couvert d’aiguilles et ensanglanté, le mien aussi, nous frappons et esquivons sans s’arrêter, aucune des deux ne semblent vouloir abandonner. J’ai encore de la difficulté à respirer, mais je tiens le coup. Un seul coup, un seul, et je peux la tuer. Qu’elle se rapproche…

Strygia me fonce dessus et le bout de sa queue m’empale le ventre. Les secondes passent, je tente de parler, mais n’arrive qu’à émettre un faible râle… et un ricanement.

-Huhu…

Je lève la tête. Une énorme aiguille surgit de ma gorge et lui traverse le crâne. La Lamia s’écroule et moi avec, je tombe à quatre pattes et me concentre, mon cosmos soigne quelques unes de mes blessures… Strygia ne bouge plus, morte, j’ai donc gagné… mais je ne me sens pas très bien non plus. Loin de se calmer, les battements de mon cœur s’accélèrent, puis deviennent irréguliers. Ma tête bourdonne, devient de plus en plus lourde, comme prête à exploser… je ne vais quand même pas succomber à nouveau? Non, je ne dois pas m’évanouir, je ne vais pas mourir… pas comme ça… empoisonnée, épuisée… du poison! C’est donc ça, quoi d’autre ça pourrait être? Si je peux soigner mes blessures, je dois pouvoir me débarrasser de cet autre mal… la foule hurle, mais je l’entends à peine. Tout semble tellement plus distant…

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Le marbre déjà imprégné de l'hémoglobines des frères et monstruosités Perses causé par le redoutable hôte de son fils Deimos, Takeya Oni, le peuple spartiate, non rassasié de sa soif de combat et de mise à mort réclamé encore des batailles sanglantes, et il allait être servi avec ces deux guerrières pas si différentes dans le fond, deux femmes à l'âme d'une véritable amazone.



Pour être honnête, Ménélas qui était l'hôte de la divinité de la guerre était excité lui aussi, peut-être même plus que la foule elle-même. Difficile de pouvoir expliquer pourquoi, était-ce parce que la femme masquée semblait provoquer un drôle de sentiment proche de l'amour, lui qui n'avait connu que les folles nuits d'ivresses et de plaisirs du corps charnelles de ces créatures de rêves, avec ce sentiment éphémère, ne durant qu'une soirée ? 


Il fallait dire que le dieu sortait avec la femme la plus belle de l'univers, Aphrodite déesse de l'amour, mais la, c'était différent. Bref, alors que les deux lionnes se lancèrent dans l'affrontement, Ménélas repensait à son grand-père, le roi Ménélas qui avait combattu les grands troyens, à travers ses terribles affrontements, il se ressassait avec fierté les histoires qu'il lui avait conté, ce qui faisait qu'augmenter son excitation. Mais la divinité qui était en lui, elle, était habitué à tous cela, ayant lui-même livré d'innombrables combats en qualité de dieu de la guerre, mais l'attraction qu'il éprouvait envers cette guerrière était quand même présent.


Toujours assied sur son trône à la silhouette désavoué, immuable pouvait on dire, le dieu de la destruction et de la vengeance regardait assidûment l'affrontement. Juste avant, il avait laissé son fils atteindre exceptionnellement son spa personnel en compagnie de sa cohorte d'amazone. Le cri de la foule inondé avec assourdissement la salle tout entière, l'alcool coulait à flots, quelques petites bastons sans intérêts éclatés dans la joie et la bonne humeur, mais l'attraction restait cette femme masquée qui se battait avec des aiguilles, une technique assez peu courante, mais redoubale puisque la puissante Strygia subissait des dégâts considérables, elle qui n'avait jamais été touchée ni blessée de sa vie, si ce n'est pas Arès lui-même.


La majorité des parieurs qui avaient misé sur la Lamia commençaient à avoir peur pour leurs argents, même si l'inconnue prenait elle aussi de sacrées coups. Elle fût même touchée par la terrible queue de la créature, queue qui contenait un poison terrifiant, pouvant assommer un dieu à grandes doses. Mais le dieu de la guerre fût surpris, elle tenait encore debout, rongée par un mal qui lui faisait se relever encore et encore. Mais, l'excitation d'Arès fût stoppée net quand la lame du monstre allait porter son coup d'épée tranchante sur la nuque de la femme masquée, qui s'était battu vaillamment. Arès, perturbé par la mort prochaine de cette femme, se préparait à bondir de son trône, arrêtant le geste de la terrible Lamia, ayant envoyé beaucoup d'Hommes aux enfers, mais une chose se produit, arrêtant l'initiative de Ménélas.


L'épée venait d'exploser en morceaux, sous l'ahurissement total des spartiates, brisant le brouhaha dans la salle. La guerrière venait d'éveiller son anima, sa cuirasse, elle venait d'accomplir un chemin vers sa véritable destinée :  Celui d'embraser sa carrière de guerrière d'Arès ! Après quelques secondes de silence, les hurlements de joies et d'ivresses reprirent de plus belles ! Vêtu de la cuirasse représentant Harmonie, sa fille, la guerrière masquée qui était menée, gênée par l'agilité de l'insaisissable Lamia inversa la tendance, et réussit à toucher de ses aiguilles la monstruosité, pour enfin l'abattre d'une de ses aiguilles géantes qui transperça le crâne de la bête d'Arès, qui regardait le dieu avec un sourire, fière d'avoir pu mourir noblement et dans l'honneur sous ses yeux, et sous les coups d'une âme d'une véritable amazone avant de disparaître dans un amas de cendres noirâtres.


Les spartiates étaient en émoi, certains criaient de joie pour le spectacle qui venait de se produire, d'autres pleuraient, fauchés comme des SDF. De son regard surpris qui était rare il fallait le souligner, le dieu se leva de son trône, et se dirigea vers sa nouvelle guerrière qui gisait elle aussi à terre, entre l'inconscience et la conscience. Elle semblait soigner ses blessures les plus graves grâce à son cosmos mais, elle ne pouvait rien faire contre le poison qui pourrissait petit à petit l'intérieur de son corps, y comprit ses organes, telle était la puissance du poison de la Lamia. 


Alors qu'il arrivait au centre de la salle, ses sandales affectueusement appelées "spartiates" et sa cape blanchâtre elles aussi trempant dans le sang mélangé des cinq guerriers; la divinité se dirigea vers la guerrière, qui ne chercha même pas à opposer résistance, puis il posa sa main droite sur sa plaie au niveau de l'abdomen, avant d'y émettre son cosmos puis il prit recouvrit la jeune femme avec sa cape blanche avant de la prendre dans ses bras et de remonter les marches jusqu'à son trône. La, il lui murmura de sa voix fière et agréable tout bon charmeur qu'il était : " J'ai éradiqué le poison de ton corps et t'ai donné une minuscule effluve de mon cosmos pour que ton corps est la force nécessaire à la régénération. " Puis il s'arrêta devant le voila juste derrière son trône avant de prendre la parole qui surpassa toutes celles de la salle.

- Mon bien cher peuple, continuez à festoyer, je ne m'absenterais pas bien longtemps. En attendant, que les lutteurs fassent place et nous offre leur démonstration de force et puissance. 

Puis la divinité disparu derrière le voile, avec dans sa main la guerrière qu'il avait démesurément fait tomber dans un court coma, histoire de reprendre plus rapidement ses forces, elle qui possédait un corps déjà bien assez marqué par de multiples blessures. Poussant une porte, Arès arriva dans sa salle thermale, la ou se trouvait son autre invité, le seigneur du lion noir qui semblait profité pleinement des joies de ce flux aqueux aux propriétés revigorantes en compagnie des créatures de rêves qu'il l'entourait, puis après avoir nettoyé les plaies de la belle au bois dormant avec sa cape qu'il brûla avec son cosmos, il déposa son corps dans un emplacement libre rempli d'eau, avant d'aller s'asseoir non loin sur une marche d'escalier, s'adressant au lion noir en ricanant avec fierté.

- La vie n'est elle pas si belle ? Des beaux combats, des morts terrifiantes, de l'honneur, de la gloire, la compagnie des femmes, entendre son nom être scandé avec force et amour ... voila la vie d'un Berzerker d'Arès ! 

Puis, reprenant un air sérieux et une voix sèche et forte, il reprit :

- Que me vaux ta visite, mon fils ? J'en conviens que ta visite n'est pas anodine, toi qui semble vivre en harmonie avec Takeya, ce black Knight comme vous vous faites appeler, c'est bien cela ?

Les mots s’adressant à son fils, son regard lui scrutait sa nouvelle guerrière qui se battait comme une véritable Amazone, il contemplait d'ailleurs cette femme dont il avait laissé le masque avec fascination. Qui a dit qu'un dieu masculin ne savait pas faire deux choses à la fois ? 
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Tandis que l'étrange cosmos blanc continuait d'entourer le lion, celui-ci s'endormit lentement. la souffrance et les blessures était trop forte pour que l'humain puise rester éveillé, de plus l'apparition de Démos accélérerait le rétablissement de l'hybride demis dieu. à la fine pellicule nacré, s'ajouta alors une aura orangé tout aussi ardente, tandis que les yeux carmin de Takeya devenait doré et que ses cheveux se lissaient, prenant une teinte bleuté.



Terreur garda le silence quelque seconde, lançant un regard circulaire autour de lui, puis il se tourna vers son père tendis que d'une main ferme et assuré, un appuyant tendrement sur la tête d'une amazone, la poussant subtilement entre ses jambes.



"ouai papa, la vie est belle, c'est vrai. j'aime toujours autant les combats, la guerre, les festin et les femme."



commença t'il dans un sourire en bougeant subtilement son bassin.



"Effectivement, je vie en harmonie, mais pas avec ma sœur, avec le Seigneur noir du lion qui est aussi mon ami et que je considère maintenant comme un frère que je mènerai vers la divinité ou du moins l'état de demis dieu des que je le pourrai."



S'étirant, le dieu de la Terreur fit jouer les muscles de son hôte et se faisant les scarification et tatouage antique brillèrent un peu plus quelques instant avant de reprendre leurs  couleurs normales.



"Ouai... Des que je le pourrais... le corps de  cette homme à été le seul depuis des siècles à pouvoir m'accueillir... Depuis que ce scélérat... ce lâche... ce pleutre, ce faux jeton... à réussi à détruire mon corps précédent il y a des siècles.. . Qui plus est, cette vermine à même réussit à effacé son visage et son nom de ma mémoire pour éviter ma vengeance, ainsi qu'a m'affaiblir et à me réduire à l'état d'âme scellé, avant que Takeya à l'état de bambin réussi à fragiliser ma prison et mon sceau quand il fut bannis en Grèce à l'âge de trois ans... Enfin il à plutôt mit la touche final par sa présence... ça faisait des centaines d'années que je m'évertuais à sortir de là... Il était déjà... Comment dit il déjà? Ha oui, "badass" des l'enfance ce garnement.  Il à aussi été le seul que je connaisse à résister à mon emprise en gardant le contrôle durant des années jusqu'à ce que je cède et commence à dialoguer... Brave môme, je ne regrette rien, il est très amusant tu verra et aussi très intéressant."



Déimos profitait des caresses des amazone l'entourant et le gratifiant de toutes leurs tendresses. il s'installa mieux et repoussa ses cheveux en arrière. Ils avaient al désagréable habitude de pousser quand la divinité prenait le contrôle.


"Quand à ce que je fais là, les raison son multiples. Tu viens de revenir, et c'est un minimum de saluer et présenter ses respects à son père quand celui-ci vient de réapparaitre. De plus, Takeya  à souhaiter te voir, même si il n'était pas encore rétabli. Il vient d'enchainer des duel avec un Sanging Nyorais, le Seigneur des immortel Yoshitô et une général de Poséidon, une certaine Kaylia de Triton. Au fait, les Nyorais ne sont absolument pas de confiance... Ils fabulent sans tenir compte de ce que la confrérie de Takeya à fait de bien... ils ne pensent qu'a récupérer le japon et en particulier le mont Fuji... Enfin bref, je m'égare... Pour terminer, je dirai comme le jeune Oni tout à l'heure. Nous tenons à l'humanité et venons savoir ce que tu compte faire face à celle-ci... Pour le reste, je ne penses pas que la confrérie interfèrera avec tes projets, les autres dieux nous ont trop déçu, mis à part peut être Hadès qui n'a pas vraiment eu le temps de s'exprimer vu comment les seins( mr Red le retour   ) et les marinas lui sont tombé dessus.Mais par contre Une alliance est possible avec les chevalier noir grace à mon "partenariat""




Les blessures du corps de Takeya commençaient déjà à se refermer et l'œil gauche du chevalier noir redevint rougeoyant, signe de son éveille, même léger, de sa guérison et de son intérêt pour la conversation. Son regard se posa sur Oblivion, puis revint sur Arès. l'intérêt du chevalier et de son "frère" était partagé, même si leur attention se dirigeait vers le dieu de la guerre, leur curiosité était attisé par ce petit bout de femme endormis
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Arès écoutait attentivement le monologue de son fils qui était agréablement accompagné du son de l'eau qui ruisselait et des ricanements coquins des amazones qui semblaient correctement prendre soin du corps de ce dénommé Takeya, bien amoché par ses précédentes batailles il fallait bien l'avouer, mais il était toujours en vie, ce qui démontrait sa puissance.


Alors que son fils avait fini de parler, Arès, toujours avec son sourire hautain, accoudé sur les rebords humides du Spa, appela une des amazones, avant de retirer sa cuirasse qu'il déposa soigneusement à sa droite, puis il lui intima l'ordre de le masser avant de prendre parole.

- J'ai du mal à te reconnaître dans t'es paroles, mon fils. Tu sembles t'être calmé, assagis même. Tu me diras, cela fait des siècles que je ne t'ai pas vu mais, je ne peux m’empêcher de repenser à nos fameuses batailles en compagnie de ton frère Phobos et de ta soeur Enyo. 

Le dieu de la guerre laissa passer un léger soupire, les yeux rêveurs, avant de reprendre son monologue, scrutant la belle au bois dormant masquée, cicatrisant à vu d'oeil grâce à cette eau offerte par son oncle Poséidon il y a des siècles, à la construction de la grande Sparte, ainsi que par son cosmos qu'il avait donné à cette dernière

- Te souviens tu de cette terrible guerre que nous avons livrés ensemble sur les collines chaudes et ardentes d'Argos ? Celle-ci ou les hommes m'ont surnommés affectueusement " le fléau des homme ". Avec ton frère, nous avons livré bataille avec mes valeureux Spartiates contre la puissante armée Perses qui comptait envahir la cité de mère Héra, Argos. Elle qui est certainement l'un des seules à croire en moi, m'avait demandée de venir repousser cette armée de chiens, ce que nous avons réalisés alors que nous étions 1 Spartiate pour 5 perses. Tu avais d'ailleurs fait honneur à ta réputation de terreur vivante en provoquant la terreur dans l'âmes d'une légion de ses chiens, qui se sont lamentablement enfuis dans leurs embarcations.

Le dieu éclat de rire après avoir évoqué cette pensée. Il se souvenait de ces hommes, sans aucun courage, retournant comme des brebis galeuses à leurs bateaux alors qu'ils étaient cinq fois plus nombreux que les 500 spartiates avides de sangs et de meurtres. Il se souvenait d'ailleurs que cette légion de poltrons fut terrassé par un des monstres de Poséidon aux larges des côtes, ce monstre qui n'était autre que le kraken, une créature qui le fascinait.

- Après une heure de batailles intenses, quand j'eus tué leur roi Gotarzès II en combat singulier, un bien faible guerrier à qui la tête était mal accrochée à son corps *ricane encore*, et que nous avions massacrés l'intégralité de cette armée, ou toi-même tu avais fais un vrai carnage, m'en honorant encore aujourd'hui, te rappelles tu de cette marée de sang qui encensée nos narines, cette odeur de mort qui ne s'est pas fait attendre pour attirer les corbeaux qui s'étaient festoyés sur les restes de ces chiens .... Je vais te dire cher fils, ces batailles me manquent, aujourd'hui, les hommes se battent avec lâcheté dotés de bombes, de fusils ... Ou sont passés les boucliers, les épées, les lances, les armures ? Ces combats au corps à corps qui faisaient naître des vrais héros ?

Le visage d'Arès se décomposa, frustré de ce que les hommes avaient fait de la guerre. Il en était écœuré et le montrait en serrant ses mains, laissant son cosmos s'emballer, brûlant légèrement l'amazone qui le massait, avant de se ressaisir, léchant avec excitation la plaie de l'amazone, souriant, proche de l'extase.

- Je vais te dire, Déimos. Depuis ma dernière défaite face à Athéna, je me suis retiré en exil dans les profondeurs du Tartare, et durant des siècles, j'y est affronté les hommes, les monstres et les titans les plus puissants que ce monde à porté. J'ai subi des défaites bien sur, mais je me suis perfectionné, j'ai appris à maîtrisé cette impulsivité qui n'était pas à mon avantage pour au final m'en faire une force et vaincre tous mes adversaires, que ce soit les titans ou les hécatonchires. Aujourd'hui, je reviens sous l'oeil interrogatif de mon père qui ne daigne sauver le monde de sa fille chérie pour éradiquer la lâcheté dans le corps des hommes, pour reblaser la véritable identité de la guerre, je deviendrais le nouveau protecteur de cette terre, et le monde portera de nouveaux héros, engeance de la guerre brave, à l'honneur et à la gloire que j'affectionne, tuant tous ces cachés et ces lâches. Tous les hommes seront égaux car face à la mort, armé d'un glaive et d'un bouclier, il n'y a plus d'inégalité, un politicien ne sera plus ce qu'il a toujours été, un homme mortel, face à des SDF ou des pauvres gens. La guerre rétablira l'égalité dans ce monde, chaque hommes sera égaux et si disparité ou mécontentement il y a alors, il se réglera non pas par des jugements falsifiés, mais par l'épée et le sang, par la force et l'intelligence du combat, plus de lâches ou de profiteurs, voila comment sera le monde d'Arès, et j'écraserais tous ceux qui se s'opposeront à moi.

Après quelques secondes de silence, Arès reprit d'une voix lente et plus calme, regardant Takeya se ressourcer, un amazone entre les jambes. Il avait prononcé un mot intéressant, le mot alliance.

- Au passage, mon hôte est Ménélas, le petit fils du grand roi spartiate ayant participé à la guerre Troyenne. Mais dis moi, toi qui souhaite une alliance, parle moi de ta faction, qui sont les Blacks Knights et quels sont leurs buts en ce monde ? Choisis bien t'es mots car je m'adresse à toi Takeya, t'es paroles auront raisons ou pas d'une alliance entre ta faction et Sparte, toi qui sait mes projets. Nous pourrons alors parler alliance une fois ton explication donnée.

Arès attendait avec impatience et curiosité les réponses à ses questions. En attendant, il savourait agréablement le massage de l'amazone au niveau de ses épaules, lui qui avait chopé des noeux suite à sa petite colère.
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Sparte, cité hôte de la majestueuse forteresse d'Arès, dieu olympien de la guerre, une jeune femme se trouvait à ces frontières, arrêtés par des gardes spartiates. Depuis l'Antiquité cette ville était réputée pour son orientation guerrière, cette jeune personne n'était pas encore une des leurs, mais un sourire s'esquissa sur ses lèvres, dans le ciel pourtant dégagé à ce moment là, des nuages noirs commençaient à remplir l'espace aérien. Des éclairs commençait à gronder à travers les nuages. Les gardes-frontières parurent effrayés, les regardant avec un air condescendant, elle leur adressa la parole.

" - Si j'étais vous, je m'enfuirais ou vous laisserez passer avant que ça dégénère..."


Une voix menaçante, mais à la fois pleine de conseils, son cosmos rouge vint la recouvrir, des flammes apparurent derrière elle, ces mêmes flammes vinrent entièrement recouvrir le corps d'Anna, lorsqu'elles se dissipèrent. La jamirienne était alors recouverte d'une belle armure rouge parcourue par des symboles et autres dessins faits grâce à de belles lignes noires. Les deux la regardèrent les yeux ébahis, se consultant tour à tour. Anna déclara alors :

" - Maintenant, laissez-moi passer, je suis une Berserker au service d'Arès "


Les deux s'exécutèrent tout de suite, laissant passer la jeune guerrière, cetter dernière arriva alors au sein de la ville. Tout de suite, elle se dirigea vers son centre, le colisée des Spartiates, une envie de combattante grandissait en elle, animée par la présence de l'esprit du Berserker enfermé dans l'Anima. Elle pénétra au sein du bâtiment abrita l'arène, chercha un serviteur du dieu de la guerre, dès qu'elle en trouva un, elle lui dit alors d'un ton excité.

" - Prévenez le maître Arès qu'une de ses Berserkers est arrivée. "


Le servant s'exécuta, peut-être qu'Arès recevrait ce message. Anna bien décidée, se rendit au sein aux abords de l'arène patientant alors pour savoir si elle allait mener un combat au sein de la prestigieuse arène du dieu.
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Même si tout restait flou dans sa tête, l'aveugle n'eut aucun mal à s'orienter dans cet endroit qu'était la ville de Sparte pour finalement arriver devant le Colisée, fief des berserkers d'Ares. Ainsi c'était dans cet endroit que les flammes vertes l'avait guidé, les gardes ne lui posèrent aucun problème, rien que par l'aura qui émanait de lui, on pouvait savoir que Furyu appartenait bel et bien à cet endroit. Une fois à l'intérieur, l'infirme s'attendait à être guidé par ses souvenirs ou mieux un guide de chair et d'os, mais il n'en fut rien. Comment se repérer dans ce dédale? Et bien ce n'était pas grâce à sa vue ni à sa tête que le jeune homme allait pouvoir s'orienter. Cependant, dans ses souvenirs, les berserkers étaient plutôt bruyant et apprécier une bonne bouffre, et leur dieu ne faisait pas exception au reste du groupe.

Je suppose que je n'ai qu'à tendre l'oreille et me diriger à l'endroit le plus bruyant du Colisée pour retrouver les autres guerriers alors..


Le démon se concentra afin d'essayer de percevoir le moindre bruit, et ce ne fut pas long. En plus du bruit, il semblait qu'une grande source d'énergie provenait de l'étage au dessus de lui. Maintenant, il ne restait qu'à trouver les marches afin de s'y rendre. Les odeurs envahissaient le guerrier aveugle, du sang, de la sueur, pas de doutes cet endroit abritait des guerriers et non de délicate petite fleurs. Était-il vraiment à sa place dans ces lieux? Lui-même l'ignorer encore, mais tout son corps lui disait de continuer sur cette voie qui se dessinait devant lui. Et puis, il n'avait pas fait un si long chemin pour repartir aussi vite. Une fois les escalier grimpés, il poursuivit sa route pour se retrouver dans une immense salle ou il ne semblait pas juste se trouvait des guerriers. Ne s'attendant pas à cela, Furyu se glissa sur le coté de la pièce, dans un petit coin sombre afin d'écouter ce qui pouvait bien se passer la dedans.


L'odeur du sang encore, il semblerait que des combats avaient eut lieu ici, puis le jeune homme trouva la source de cette formidable énergie. Cet homme sur le trône, aucun doute possible, c'était donc le dieu de la guerre. Si proche de lui, l'aveugle fut pris d'un terrible mal de crâne et des souvenirs lui revinrent en tête, des souvenirs de morts, de combats mais ce cosmos, il ne pouvait l'oublier, celui de son Dieu, celui qui le guidait sur cette terre. Tout d'un coup, Murasame se mit à briller et une sorte d'armure se mit en place sur le torse du guerrier. Impossible de faire profile bas à présent, juste avec la lumière tout ceux au fond de la pièce c'étaient retourné. Le berserker s'avança alors vers le trône, son katana à la main. Furyu posa un genou à terre et présenta son katana devant lui. Arrêté devant un immense garde et aux cotés d'une autre des ses camarade ce dernier prononça ces mots à voix haute.



Je suis de retour seigneur, désolé d'avoir mit autant de temps mais ma mémoire est quelques peu défaillante ces derniers temps et si ce n'était de Danpachi je ne serait pas encore ici. Furyu maitre des flammes, anima d'Efreet à votre service.
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Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! Gw2_pr10


Alors que le seigneur Arès venait de s'absenter, Bennairo qui était le nom du garde qui protégeait l'incarnation de la guerre, celui la surveillait avec une grande méfiance et attention chacun des centaines d'invités qui se trouvaient dans la salle, aussi ivres qu'excités. Caché dans son énorme armure de fonte qui pesait  au bas mot une centaine de kilos, celui la restait figé, tenant sa hache sur son épaule.


Le garde, qui aurait pu aisément devenir un Berzerkers selon les dires, mais qui avait renoncé à ce privilège pour perpétuer la tradition familiale de garde impériale que faisait son père, son grand-père, en remontant comme cela jusqu'à l'époque ou l'ancêtre de Bennairo, faisant parti des 300, mourant au côté du roi Léonidas, aperçu alors deux êtres, une femme et un homme, se présentant à ses pieds, clamant le dieu de la guerre.

- " SILENCE " gronda Bennairo qui de sa voix la plus terrifiante, fût taire tous les convives. Immuable, ressemblant à s'y méprendre à une statut ou une gargouille, le garde impérial fixa les deux êtres qu'il dépassa de facilement cinq têtes. Quand le calme s'empara de la salle du trône, il reprit parole de sa voix aussi terrifiante et froide que la première fois.

- Sa Majesté Arès n'est pas disponible pour l'instant. En attendant, si vous voulez resté en ces lieux, il vous faudra passer une épreuve. Si vous réussissez, vous pourrez rester et s'il le désire quand il sera disponible, rencontrer l'incarnation de la destruction, si vous échouez, vous mourrez dans la honte de Sparte.

Bennairo pointa sa hache vers les deux guerriers, qui s'écartèrent l'un de l'autre, ce qui démontrait toute la puissance du garde qui n'était pas à sous-estimé, représentant la parole d'Arès en son absence. Son arme étant imprégnée de la puissance du dieu de la vengeance qu'il avait soigneusement béni pour récompenser sa fidélité, ce dernier vint faire taper la tête de sa hache contre le sol, deux grandes cages sortirent alors du sol, emprisonnant les deux invités simultanément. 


Dans la première cage se trouvait cette femme s'appelant Anna. Des flammes à ses pieds sortirent une engeance du terrible Lion de Némée:  Le Néméen, un terrible lion tricéphale faisant la taille d'un bus ! Ce monstre avait la réputation d'être invisible, il possédait une peau impénétrable à toutes sortes d'armes humaines, possédait une force terrible, et une vitesse déconcertante ! Il était dis qu'il se nourrissait des flammes et de la foudre, cependant il pouvait être tué d'une certaine  façon, le secret venait de ses cornes en ivoire et de nacre qui repoussaient d'ailleurs assez rapidement, mais personne n'en savait plus, sauf Arès lui-même.

Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! 30442310

Dans la seconde cage ou se trouvait cet homme nommé Furyu, apparu des flammes un Balrog, ce puissant esprit démoniaque provenant de l'essence même des flammes. Les légendes racontaient que seuls les dragons pouvaient vaincre cet entité faisant une dizaine de mètre. Son corps indestructible étant composé de flamme au même titre que son épée faisant plusieurs mètres de long, il était dis que son point faible provenait de son appétit pour les flammes, mais une fois encore, personne n'en savait plus mise à part Arès, qui les avaient vaincus et capturés.

Que les braises de la guerre s'embrasent de nouveau ! 260px-10

La foule redevenait ivre, fascinée par les défis plus en plus spectaculaires que leur offrait Arès, même s'il fallait avoué que pour l'instant, les invités et Berzerkers d'Arès précédents avaient tous réussis les épreuves. Mais cette fois-ci, les statistiques allaient peut-être changés.

- battez vous avec honneur, ou mourrez avec bravoure. lança Bennairo de sa voix la plus violente, une chose était sur, le sang allait couler !




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Le garde de cette salle n'était pas un petit joueur, d'après ses ressentis, il devait être aussi puissant qu'elle. Un autre berserkers était arrivé, Furyu. Maître des flammes d'Arès, pas mal comme rang. Elle le jauga rapidement. Avant d'être surprise par les hurlements du garde spartiate, Anna arbora alors un visage noir, avec des tendances meurtrières. Il voulait leur lancer une épreuve. La berserker du lion ardent répondit alors vivement :

" - Alors, vas-y impose nous ton épreuve, les Berserkers d'Arès sont nés pour se battre, pour ça. C'est pas ton épreuve qui me découragera de rencontrer notre divinité. "

Aucune gentillesse désormais dans ses propos, si elle aurait pu démontrer sa part gentille, et bah non, pas cette fois. Elle allait démontrer à ce garde en armure ce que la fureur du lion signifiait. D'ailleurs, elle n'allait pas attendrez  pour ça, il l'enferma dans des cages faites à base de cosmos. Un sourire de joie s'esquissait sur son visage. Arborant toujours son Anima, elle hurla comme ça :

" - Pour la gloire du peuple spartiate. Et pour monter d'un cran le niveau du challenge, je me battrai sans mon armure contre cette épreuve imposée. "

Joignant la parole au geste, son anima disparût en laissant une faible gerbe de flammes et d'éclairs autour d'elle. Néanmoins, un problème se posa à elle, où était son adversaire ? Elle ne le voyait pas, et tournant son regard vers Bennelio, elle lui demanda, exaspérée :

" - Tu te fous de moi ou quoi, il est où ton soi-disant challenge ! "

Or la réponse, elle pouvait la deviner, un puissant coup l'envoya valdinguer à travers la cage, causant une plaie sur son visage, elle avait été frappée durement. Tout de suite, elle comprit que son adversaire était gros, et invisible. La jeune femme se releva promptement, avec de la détermination à revendre. Un sourire carnassier se formant sur ses lèvres. Elle fonça à travers la zone d'affrontement, elle avait pensée à une tactique pour repérer et attaquer la bête. Elle recouvra son poing d'éclairs de couleur sang. Et prêta attention à ce qu'elle touchait, à un moment, lorsqu'elle sentit quelque chose de plus dense, elle éclata en rire et s'écria d'une voix sombre, pleine de haine, de sadisme, et avec une touche sauvage :

" - Je te tiens maintenant. Lightning Assault ! "

Sous l'invocation de l'arcane, les éclairs fusèrent, renforçant la pénétration et la force du coup, mais une vive douleure se répercuta dans sa main, dans un réflexe rapide, elle effectua un salto arrière avant de se reculer. Deux boules de foudres se décrivant dans sa main. Après les attaques directes, les attaques à distance. Dans un coup de folie, elle les relacha dans un bruit tonitruant à en percer les tympans des autres tout en s'écriant :

" - Lightning Spiral ! "

Les orbes fusionèrent sur leur trajet avant de disparaître d'un seul coup. Net et sans bavure.

" - Mais c'est quoi ce bordel ! " beugla t-elle avec rage.

Rien de marchait contre lui, dans un déchaînement de colère, un cercle de flammes se décriva là ou la boule avait disparu. Sans le prononcer, elle leva son bras, une explosion se déclencha là où le cercle se trouvait, et une colonne de flammes s'érigea, fusant jusqu'au plafond de la cage. Le Blazing Eruption d'Anna, voilà ce qu'elle déclenchait. Une joie profonde l'envahit alors. Mais lorsqu'elle vit l'incendie se diviser en trois pour disparaître, Une profonde stupeur s'empara de son visage, à un tel point qu'elle tomba à genou.

Mais un Berserker n'abandonne jamais, pas Anna en tout cas. Une aura de lion se matérialisa formée à parti du cosmos élémentaire de la demoiselle. Elle eut une stratégie, amplifier le flux électrique nerveux pour le griller. Déchainant ses éléments dans l'arène improvisée. Ils furent encore une fois absorbés. La Berserker fonça vers le Néméen. Elle subit des nouveaux coups violents sur son corps, tachant ses vêtements avec son sang. Elle se rétablissa et sauta; elle le sentit comme suspendue. Elle comprit qu'elle était sur le dos de la bête.

" - Eh bien, on aura bien joué, mais c'est fini ! "

Elle se redressa et libéra son cosmos fourdoyant tout autour d'elle, tentant de passer à travers le cuir de la bête. Mais le monstre tricéphale lui se secoua vivement. Pendant plusieurs minutes, puis un hurlement bestial et strident se fit entendre. Suivit d'un flot de sang s'écoulant sur le sol. Anna tomba à côté de la bête, à quatre pattes. Épuisée par l'effort fourni. Elle se releva, la figure en sang, elle leva son poing et s'adressa au garde."

" - Alors, c'est bon? T'en as assez vu ou tu veux que je te régle ton compte à toi aussi ? "

Elle rabaissa le poing, ses membres tremblants, l'effort fut d'une intensité prodigieuse. Et au final, elle pouffa de rire sous la clameur des spartiates. Tout en remettant son Anima sur elle
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Après que Furyu eut parlé, un immense gardien avança vers eux et commença son discours. Apparemment ce guerrier n'était pas un berserker mais le guerrier aveugle sentait que cet homme avait reçu la bénédiction du dieu de la guerre de par le cosmos qui se dégageait de lui. Le colosse frappa le sol avec sa hache, ce qui sépara les berserkers mais pas seulement, cela créa des cages qui enferma le démon à l'intérieur. Ainsi, c'est comme ça que l'on souhaitait un bon retour à ses guerriers, curieuse coutume. Soit, après tout cela pourrait être amusant de se dérouiller un peu, des flammes jaillir du sol et une créature fut créé ou invoqué par ces dernières.

Tiens un autre démon de feu, voyons qui de nous deux et le vrai maitre des flammes.


La zone de combat était plus que restreinte, impossible de vraiment correctement esquiver les attaques de cette bête. La défense serait surement beaucoup trop difficile dans ces conditions, il ne restait donc plus qu'une option pour sortir de là, attaquer et vaincre cette créature. Furyu se mit en garde, Muramase à sa main et essaya d'analyser les flux d'énergie du démon se trouvant en face de lui. Son bandeau qui recouvrait ses yeux tomba et à la place des yeux de l'aveugle, des flammes apparurent. Il était cependant très imprudent de penser que ce feu était un simple feu pour impressionner ses adversaires, en réalité ces dernier étaient les yeux d'Efreet lui même, ce qui permettait au beserker de voir ce qui se trouvait devant lui d'une autre façon. Cependant ce stratagème ne paya guère, car la créature ne semblait avoir aucun point faible, attaquer comme une brute sans savoir ou frapper n'était pas dans l'habitude de l'infirme. Par contre la créature elle ne se priva pas pour l'attaquer. Faisant virevolter son arme de tout bord, Furyu essaya d'esquiver du mieu qu'il pouvait, par chance les brûlures ne lui causait aucune gêne, lui qui avait entrainait son corps dans les températures les plus hautes.


Furyu ne pouvait pas rester la à ne rien faire, il lui fallait analyser la situation et cela rapidement. Comment vaincre cette créature, de ce que le guerrier aveugle avait compris des berserkers c'étaient des personnes aimant se battre mais ils étaient bien loin d'être idiot donc il lui fallait comprendre la vrai nature de son adversaire pour pouvoir le vaincre. Ce balrog était un esprit de feu, et selon la légende seul les dragons pouvaient les vaincre, la question était donc comment un dragon pouvait vaincre un adversaire. Par les morsure et les coups de griffes, non cet être était plutôt résistant et aux quelques coups d'épées que le berserker avait donné ce dernier savait que la créature ne tomberait pas aussi facilement. L'autre moyen était un souffle puissant de feu, et ça Furyu était capable de le créer. Il n'y avait pas d'autres choix et cela méritait d'être tenté.

Voyons ce que tu as dans le ventre mon gros.


Furyu frappa le sol avec son katana, de ce dernier des flammes jaillirent avec l'intention de dévorer tout ce qui se trouvait autour d'elles. Une véritable tornade de flammes venait d'être créée et cette dernière se dirigeait droit vers le Balrog, ce démon allait en avoir pour son apétit car plus le monstre absorbait les flammes plus le guerrier aveugle renforcerait sa tornade car les flammes de Furyu même dévorait se nourrissait de leur adversaire pour en faire profiter leur maitre. L'étreinte se resserait et la puissance des flammes grandissait de seconde en seconde, rien ne semblait pouvoir les arrêter. Le guerrier aveugle esquissa un sourire, il ne restait pu qu'à attendre voir le résultat de son attaque. Ces derniers ne furent pas long à observer, le balrog continue de se nourrir des flammes du berserker jsuqu'au moment où celui-ci n'en puisse plus. À ce moment Furyu savait qu'il était temps de porter le coup de grâce, avec Muramase il ouvrit un faille dans le sol projetant de la lave directement sur la créature qui ne pouvait en supporter d'avantage et implosa.

Est ce qu'on peut me sortir de là à présent?
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Déimos écoutait, ses yeux doré luisant faiblement, tandis que le droit continuait de se teinter de grenat. Il fit jouer ses muscle et les étrange tatouages commencèrent petit à petit à disparaitre. Son pouvoir faiblissait. Il avaient à peine récupérer une infime partie de son pouvoir et que Seigneur du feu l'avait déjà épuisé en le combinant au sien.  Terreur était au final presque aussi épuisé que son hôte et cela se voyait clairement malgré l'assurance et le self contrôle qu'il montrait. Il continua d'écouter Guerre et les paroles qu'il entendit le firent sourire, il sourire teinté de nostalgie, mais aussi de mélancolie, même si il n'en montra rien dans sa voix.


"Je ne doute d'aucune de tes paroles, mais le sceau dont je fut victime à aussi effacé une grande partie de ma mémoire et de mes arcane guerrière. Sans Takeya, je serait sans doute disparue aujourd'hui, effacé par le temps et ce pouvoir maudit dont j'ignore l'origine..."

Sont œil droit devint soudain brillant comme le rubis, reprenant la couleur de son propriétaire initial qui à l'écoute de la suite revint à la surface pour répondre au divin. le sourire lui ne faiblit pas, mais à présent, le regard de l'incarnation divine pouvait aisément perturbé. il était devenu verrons, à la différence que maintenant, l'un était or et l'autre rouge sang.

"Cela fait seulement trente ans environ que nous avons reprit l'entrainement, mêlant nos cosmos et nos vie pour créer quelque choses qui jusqu’à présent n'a jamais existé, mais nous nous donnons du mal."

le sourire devint plus provocateur et une étrange lumière  brilla dans le regard de l'incarnation. qui pouvait dire à ce moment précis, qui prononçait ces mots... puis la lumière doré s'éteignit. Déimos était encore trop faible pour prendre longtemps les commandes et Takeya reprenait du poil de la bête, tandis que ses iris reprenaient leur couleur écarlate. le Seigneur noir le plus puissant de l'ordre se redressa alors pour faire face à Ares et le salua d'un signe poli de la main.

"Je suis bien d’accord avec toi sur ce point. les armes à feux devraient être tous simplement détruite. Mais que dire alors des manipulateur de cosmos face aux être humains? Car les épées et les bouclier, face à la cosmos énergie, ne sont rien."

Takeya se réinstalla confortablement, alors qu'une magnifique masseuse commençait à prendre soins de ses muscles endolories.  Son sourire était amusé et malgré ses blessures il tenait un calme olympiens.

"Ravis de connaitre ton hôte et salutations à lui comme à Toi Guerre. Je suis honoré de pouvoir converser avec toi et je constate que malgré quelques différences, nous avons beaucoup de point commun."

Le Lion admira un instante les lieux ou ils se trouvaient. le cosmos de Terreur continuait de le soigner, tout comme les eaux de Poséidon. Qui eu cru qu'indirectement le divin tyran contribuerait à sa guérison? L'héritier de Prométhée s'en amusa un instant avant de devenir pensif face à la question d'Arès...


"La liberté."

Le ton était assuré et confiant, le regard soudain plus décidé et le sourire bien que toujours présent, se fit plus apaisé.

"Si un mot pouvait nous résumé, se serait celui la. Aucun dieu ne nous dirige, nous représentons à la fois le meilleurs et le pire de l'humanité, tout ce que les dieux n’acceptent pas pour des raisons diverse et varié. Notre but principale est de protéger l'humanité afin d'en tirer avantage. Si les dieux dans leurs querelles aveugles écrase cette humanité, nous péririons avec elle ou du moins, nous y perdrions beaucoup car depuis des millénaires, nous somme là  et personne n'a réussi à nous éradiquer."

Un sourire, un regard, une expression fier s'affichait sur le visage du Seigneur noir. il était clair que rien ne pourrait faire plier cette volonté de fer, ni le faire douter de ses idéaux.

"Après, Il est difficile de nous qualifier car nous portons en notre sein toute la dualité du monde. mais nous sommes mué par la même volonté de combattre les divinités et de protéger la terre, même si cela peut paraitre ironique. Pourquoi alors venir parler d'alliance alors que je viens de te dire que nous combattons les dieux va tu me dire? Et bien c'est simple. nous  sommes déterminé, mais pas fou. se mettre à dos tous les panthéon serait stupide bien que pouvait paraitre courageux et la folie mène souvent à la mort et à la destruction. alors nous avons décidé de nous rapprocher des dieu qui on le plus de point commun avec nous."


Takeya irradiait la confiance en lui. parler à une divinité lui semblait tout à fait normal et malgré le fait qu'il vouait à son  interlocuteur un respect véritable, il ne s'écrasait pas devant lui ni ne montrait de veulerie ou d’excès de politesse comme certains lèches bottes servant les divins. Il était vrai, peu importe la réponse du dieu de la guerre, il serait honnête jusqu’au bout.


" Pourquoi ne vas tu pas voir Athéna vas tu me répondre encore. Et bien tout simplement parce qu'elle est aveugle et utopique. On ne fait pas d'omelette sans casser d’œufs et de plus elle et ses chevalier dégouline de fierté mal placé et prône la pensé unique, la leur, restant aveugle et sourd au reste du monde qui va de plus en plus mal."


De nouveau, le Lion, incarnation de Terreur, se leva, mais cette fois, il s'approcha sans pudeur de la divinité et plongea ses prunelles fauve dans les siennes.


"J'avoue que je préférerai une paix durable, mais tant que certaine divinité exerceront leurs lois aveugle, se sera impossible et puis ne dit on pas "qui veut la paix prépare la guerre?. Nous avons le même sens de l'honneur Guerre, je le sens, la même passion des bataille contre des adversaires puissant et peut être d'autre point commun. Je vais te dire la même chose qu'au représentant d'Hadès, pensons à ce qui nous rapproche au lieu de penser à ce qui nous éloigne."


Lentement l'asgardien déchu se redressa sans quitter Ares des yeux.

"Je vais être franc. je suis en quelques sorte le diplomate de l'ordre, celui qui s'assure de son équilibre pour qu'il ne penche pas trop du coté obscure si je puis dire, mais je suis avant tout présent pour souligner nos intérêt commun."
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Je voudrais calmer ma respiration, prendre une grande inspiration et me forcer au calme, me convaincre que ce poison n'est pas vraiment là. Ça fonctionne avec la douleur. Mais pas maintenant, ma poitrine me fait mal, ma tête semble trop lourde pour mes épaules et j'ai de plus en plus chaud... je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir. Je ne sais pas comment je fais pour encore tenir.

Éventuellement, je sens une main se poser sur mon ventre, là où la queue de la Lamia m'a transpercée. Si j'en étais capable, je repousserais cet inconnu qui tente de m'aider, je ramperais vers la sortie pour fuir les hurlements de la foule et je me cacherais loin des regards jusqu'à ce que mort s'ensuive, mais pour chaque mouvement que je tente de faire, c'est à peine si j'arrive à en trembler. Celà est jusqu'à ce qu'une vague de cosmos me traverse, effaçant toute trace du poison. Les tremblements cessent: je me contente de pousser un grand soupir de soulagement et de laisser l'homme guérisseur me prendre dans ses bras. Il me parle, mais je n'entends pas vraiment ses mots: plutôt ses intonations, le ton qu'il prend, et sans m'en rendre compte je finis par fermer les yeux et me laisser sombrer dans le sommeil.

...

Je suis au Yomotsu. Je marche d'un pas lourd et régulier, suivant les esprits morts sans rien dire. D'habitude, les voix me parlent, mais cette fois c'est différent. Elles chantent. L'hymne aux morts, je n'avais pas réalisé que les morts chantaient aussi. Tiens, moi aussi je le chante avec eux. Je n'avais pas remarqué...


-Qu'est-ce que tu as fais?!


La voix retentit derrière moi. Je ne me retourne pas, poursuis ma route, sans vraiment l'écouter.


-Tu ne sais pas ce que tu fais, Oblivion! Tu ne peux pas abandonner une armure comme ça!


En entendant mon nom, les esprits morts se retournent et j'aperçois enfin leur visage: maman, papa, Prayer, Oblivion, Vermalis, Sargas... Dégel, Arsiesys, Aiden, Rafarunto? Ils ne peuvent pas être tous morts! Des murmures interromptent la mélodie pour me répondre.


Oui. Et toi non plus tu n'as rien fait.


-NON!


La musique s'arrête et les esprits se jettent sur moi. Je hurle, je pleure, je les supplie d'arrêter, mais ils me griffent, m'étranglent, les voix me disent des choses horribles... je n'arrive plus à respirer, je n'en ai plus envie, je veux juste finir ce maudit chemin et pouvoir être tranquille, enfin en paix avec ceux que j'ai aimé... la scène s'obscurcit de plus en plus, j'attends la fin avec impatience...


Quand je sens une douleur aiguë au visage. Un coup bref et sec, qui réussit à effrayer les morts et les forcent à s'éloigner avant se disparaître. Le paysage est redevenu normal, et je porte une main à ma joue. On m'a giflé.
Un autre coup me frappe l'autre joue. Je recule en tentant d'en trouver la cause, mais je suis seule.


-T'as pas le droit!


Subitement, je lève une main devant ma joue, comme pour la protéger. Un autre coup en frappe le dos. C'était facile à prévoir, un troisième coup, mais qui le fait et pourquoi? D'autres gifles, j'en esquive quelques unes et la voix sortie de nul part continue sa remontrance!


-T'as pas le droit d'avoir tout fait pour rien! Alors tu vas te relever et tu vas te battre!


Cette fois, je suis atteinte au cou. Mais ça ressemble plus à une morsure...

...

Je me réveille en sursaut, encore sur le qui-vive et pleine de panique à cause du rêve. Après quelques secondes je réalise que ce n'était que ça, un rêve, et réussit à me calmer. Je déteste rêver. Je vais devoir me refaire une réserve de morphine pour empêcher ça, j'ai perdu celle que je m'étais constituée au Sanctuaire.
Mes souvenirs plus récents refont enfin surface: je combattais une guerrière Amazone, elle m'avait empoisonnée, et ensuite je me suis évanouie... et maintenant je me trouve dans une sorte de bassin rempli d'eau, vêtue uniquement de mes guenilles n'ayant pas très bien survécu au combat, dans une salle aux allures typiques grecques. Je me redresse avec difficulté, bien que je ne ressente plus de douleur je ressens quand même de la fatigue, et encore une certaine faiblesse... je vais vraiment devoir m'habituer à ces aiguilles, ce nouveau style de combat m'a vraiment drainé de mon énergie.

-Hm...

Mais ce désir du combat et de la douleur était plus que plaisant: c'en était presque fou, j'y ai vraiment pris plaisir et je n'en ai pas honte. C'était vraiment... incroyable. Comment ai-je pu l'ignorer jusqu'à aujourd'hui? Oh... bien sûr qu'une armure comme celle de la Lyre n'était pas pour l'encourager.

Au diable l'armure de la Lyre

Je baisse les yeux. Mes jambes sont couvertes de cicatrices, alors qu'il y aurait dû y avoir des entailles. Mais pas de blessures ouvertes, il n'y a même pas de sang dans l'eau. Je lève doucement les mains, mais elles n'ont rien non plus, si ce n'est que des minces lignes rosées. De même pour mes blessures au ventre et à la poitrine, je vérifie rapidement. On pourrait presque dire que je suis comme neuve, mais l'odeur de sang que dégage encore l'intérieur de mon masque m'indique qu'il n'a pas été nettoyé et donc pas enlevé durant mon sommeil. Ce que je cache en dessous n'a probablement pu guérir, évidemment...

Un mouvement plus loin attire mon attention et mon regard croise rapidement celui de l'homme aux longs cheveux rouges qui était assis sur un trône plus tôt. Le seigneur de Strygia et le maître des lieux, probablement. Et celui qui m'a soigné, je reconnais son cosmos, puissant mais plein de chaleur, comme celui de Sargas... non, je ne dois pas me laisser avoir. Il n'est pas mon frère, peu importe comment je le souhaiterais, et je ne montrerai plus jamais la même affection à l'égard de personne. Ça fait trop mal de les voir partir après.

Je promène donc mon regard méfiant de l'homme aux cheveux rouges encore accompagnée par une belle guerrière au chevalier qui se trouve aussi dans un bassin et qui est entourée par d'autres femmes. Certaines me regardent et je les toise de façon agressive, les défiant de s'approcher et de seulement essayer de me toucher. Elles m'ignorent assez vite.

Je ne sais pas trop ce que j'attends. Des explications, peut-être, j'ignore où je suis et ce qui m'est arrivé exactement, mais étrangement je ne tiens même pas à le savoir. Je pourrais partir, là, maintenant, et ça ne me ferait rien.

Pourquoi pas?

En un effort qui me paraît presque surhumain, je m'extirpe du bassin, les yeux rivés sur le sol. J'arrive à rester debout, c'est déjà ça, reste à savoir si je peux marcher. Je fais un pas, puis un deuxième, j'ai vaguement entendu le chevalier noir dire quelque chose qui a attiré mon attention.

-Athéna...

Un troisième pas vers la sortie. Je peux préparer mon retour au Sanctuaire, maintenant que j'ai une nouvelle armure et que je sais comment contrôler les aiguilles, personne ne me verrait arriver. Une vengeance, simple et sanglante.

Non mais oh, penses-y un peu

Contrôler, ce n'est pas tout à fait exact. Et puis, si j'ai une armure, je suppose que je dois aussi servir quelqu'un... sauf que je ne sais pas qui. En fait, je ne sais pas grand chose, depuis mon départ du Sanctuaire je n'ai fait que suivre les indications des voix... alors qu'est-ce que je devrais faire?
Je regarde les deux hommes avec incertitude. Je ne sais pas à qui je peux faire confiance, s'il n'en tenais qu'à moi je m'entêterais à me débrouiller seule... mais je doute que mon "guide" me laisse faire... c'est à cause de toute cette histoire d'armure que je suis ici, après tout. Je n'ai plus le choix. Je leur demande donc, avec hostilité et méfiance:

-Qui êtes-vous? Qu'est-ce que je fais ici?

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Les yeux rougeoyant du seigneur du feu se posèrent sur la frêle jeune femme qui commençait à revenir à la vie. Un regard presque démoniaque et pourtant calme et paisible, simplement teinté de curiosité. Malgré l'apparente faiblesse de la demoiselle, ses yeux reflétait une volonté inébranlable, un courage vrai et un esprit combatif puissant, le lion aimait ça et son sourire le montra.

Il l'a regarda sortir du bassin, près à intervenir si elle montrait une forme de faiblesse physique, il fit un pas en avant, mais elle ne céda pas. l'héritier de Prométhée cilla un instant surpris d'entendre la jeune femme prononcer le nom de la déesse des saint, mais vu l'état de la demoiselle, il n'y fit pas plus attention que ça, restant attentif a ses mouvements et à ce qu'elle allait faire, toujours curieux à son égard. ses pupilles observèrent la petit choses faire quelques pas tremblotant vers la sortie avant de de nouveau s’arrêter. la petite demoiselle irradiait la méfiance à des kilométre, pourquoi alors s'être rendu en ces lieu?


"Pour ma part, je suis le  Seigneur noir du lion et l'incarnation de la terreur. et tonton là.."


dit il en montrant Arès.

"C'est Arés, dieu de la guerre, enfin il se présentera sans doute mieux. Je dis tonton car mon Hôte qui est son fils me considère comme son frère, c'est d'ailleurs réciproque, alors je me suis dis, Arès, c'est un peu mon oncle, ou mon papa spirituel, fin bref, c'est compliqué, mais amusant. Par contre la raison de ta venue m'est inconnue. t'as déboulé comme ça et après mon combat, je suis tombé dans les vape et je me suis réveillé ici."

Le Maitre de la Main noire regardait avec amusement, mais interrogations la petite chose qu'il avait en face de lui. Elle lui était encore inconnue, mais fort sympathique, il attendit donc patiemment ses réactions.
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Si je fermais les yeux, je pourrais me croire face à quelqu'un d'autre. Quelqu'un de très semblable et très différent à la fois, avec ce même regard terrifiant, plein de confiance et teinté d'amusement à mon égard, mais qui m'a fait souffrir sans scrupule juste parce qu'il y prenait plaisir. Et qui m'a tué. Après avoir tué tous ceux qui comptaient pour moi. Non, je ne fermerai pas les yeux. Je ne fermerai plus jamais les yeux, s'il le faut.

Ne jamais le revoir

Lentement, prudemment, je recule sans perdre des yeux le Seigneur Noir, serrant brusquement les poings comme pour me défendre dès qu'il fait un geste vers moi, jusqu'à ce que mon dos heurte le mur. Impossible d'aller plus loin, encore une fois. Je ne peux jamais aller bien loin, je ne peux jamais fuir tout ce qui me hante.

Jamais...

Je ne connais pas beaucoup les Seigneurs Noirs, mais je sais qu'ils dirigent des chevaliers mercenaires, donc sans dieux. Mais si lui dit être l'incarnation de la terreur, il ne serait quand même pas...

-... Phobos?

Ma voix semble se faire toute petite, comme sur le point de se briser. Loin de ramener autant de mauvais souvenirs que celui d'Iblis, ce nom ne m'est pas inconnu. Quand il se parlait tout seul, c'est comme ça qu'il appelait cet autre lui... Phobos...

Toi aussi tu te parle toute seule

-Ce n'est pas pareil, je murmure doucement.

Mais comment peuvent-ils être deux?! Ce n'est pas possible, je suis en train de rêver, tout ça n'est qu'un autre cauchemar! Impossible que tout ça me pourchasse encore, ça devait être fini, Arsiesys me l'avait promis!

Il t'a menti

Lui aussi... Je pourrais me rouler en boule dans un coin, me cacher le visage entre mes mains et pleurer, là, maintenant, mais en levant les yeux pour une fraction de seconde en un réflexe qui m'échappe encore, je croise le regard de l'homme aux longs cheveux rouges. Arès, dieu de la guerre.

Je sens que j'aurais dû le savoir depuis le début. Que c'était stupide de ne pas l'avoir remarqué et que c'est pourtant évident, mais le fait est là: je l'ignorais complètement. Et maintenant que je le sais, le tout me semble on ne peut plus logique. Cet homme dégage une prestance et une force incroyable, je sens la peur qu'il impose mais aussi le respect. Il n'est pas tout à fait comme j'imaginais un dieu de la guerre. Il est encore mieux.

Et je refuse de verser une seule larme devant lui. Athéna prend pitié de ceux qui pleurent et prennent peur. Pas Arès, et je n'ai plus le droit de chercher la pitié de qui que ce soit.

Respire, Rage

Je respire profondément, et expire, puis reprends sur un ton plus égal. Le Lion Noir n'a pas répondu à ma question, peut-être n'a-t-il pas la réponse non plus, mais je ne peux m'empêcher de dégager la même méfiance à son égard alors que je lui explique un peu plus ce que je demande.

-... Je ne sais pas où je suis. J'ai suivi des chemins à l'aveuglette et quand je suis arrivée ici, j'ai ressenti l'énergie de combattants...

Ou plutôt l'énergie de mon bourreau, ou son sosie cosmique, mais je n'en dis rien et poursuis.

-Et... J'ai craqué. C'était plus fort que moi, je devais me battre aussi et j'ai ignoré tout le reste. Alors... me voilà.

Je porte doucement une main vers ma tête pour me masser les tempes mais n'arrive à toucher que mon masque. C'est vrai, mon visage est complètement couvert. Par contre, j'effleure du bout des doigts une plaie qui n'a pas encore cicatrisé, une autre que je connais bien: elle me traverse le front et fait le tour de ma tête. Une des plus douloureuses quand on me l'a infligé, mais depuis je ne ressens plus grand chose. Au moins mes cheveux la cachent parfaitement, mais on dirait que les soigneurs ont oublié quelques bouts ici et là. C'est probablement mieux comme ça.

-Je ne sais pas... Je ne sais rien. Personne ne m'a rien dit.

Je ramène mes jambes contre moi et baisse les yeux au sol, honteuse. L'ignorance, surtout à ce niveau, n'est jamais plaisante à avouer.

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